51 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
LANGUE ET ESPACE FRANCOPHONE
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Date de création
| 1992-04-15 |
Invités | Beaudet Marie-Andrée, linguiste |
Artisans | Rochette Guy, animateur ; Saulnier Jean-Pierre, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Dans une deuxième portion d'entrevue, la linguiste Marie-Andrée Beaudet s'exprime sur l'influence de la linguistique dans la création d'un champ littéraire québécois. Un roman d'André Langevin sur la crise d'octobre intitulé "L'élan d'Amérique" a été, pour madame Beaudet, le point de départ d'une réflexion concernant la littérature québécoise face aux règles de la linguistique. |
Mots clés | Langue — Linguistique — Littérature — Roman — Société |
Identifiant | 8341006 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
52 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
HEBDO RADIO
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Date de création
| 1994-10-15 |
Invités | Maillet Antonine, écrivaine acadienne |
Artisans | Payette Dominique ; Payette Sylvie ; Bouchard Céline-Marie, animatrice ; Lantagne Lisette, réalisatrice |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Dans le cadre de l'émission "Un air de famille" du 11 octobre 1994, l'écrivaine acadienne Antonine Maillet discute de divers sujets, tels que : sa passion pour la rénovation de maisons, le féminisme et la situation de la femme, les similitudes entre la langue de Rabelais et le langage acadien ainsi que le problème perpétuel d'identité du peuple acadien. |
Mots clés | Femmes — Langue — Littérature — Littérature franco-canadienne — Roman — Société |
Identifiant | 103976002 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
53 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
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Titre du segment | Les carnets d'André Major (6 de 8) |
Date de création
| 1997-12-22 |
Durée du segment | 01:03:00 |
Invités | Major André, réalisateur, écrivain |
Artisans | Lépine Stéphane, réalisateur, animateur; Major André, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Pour souligner l'apport exceptionnel d'André Major, réalisateur à Radio-Canada depuis près de 30 ans (à la Chaîne culturelle FM de Radio-Canada), Stéphane Lépine propose une série de huit carnets et dialogues avec le lecteur, l'écrivain et le réalisateur André Major.
Sixième carnet: Parler au singulier ou le non-alignement.
André Major parle de l'imposture que représente l'écriture au "nous". L'écrivain est solitaire et c'est dans cette solitude qu'il est solidaire. Toute connivence entre l'écrivain et sa société repose sur un malentendu. L'écrivain doit maintenir une distance entre la société et lui. C'est dans cet écart que réside sa liberté. Rien ne doit faire écran entre la réalité et lui. L'écrivain doit aussi refuser les compromis dans son écriture, car ils affaiblissent une œuvre. Dans cette réflexion sur l'œuvre, André Major situe Thomas Bernhard comme faisant partie des exceptions. Il le caractérise comme quelqu'un allant au-devant des coups, les provoquant et prenant tous les risques. Il qualifie son travail comme une œuvre d'art. Major décrit l'écrivain et l'intellectuel dans la société comme des anomalies. Ils dérogent aux lignes de conduites et aux lieux communs. En ce sens, l'artiste est pour lui une faute de goût. Il est, à l'intérieur du lieu commun, une voix singulière. Et c'est ce qui explique qu'il lui soit si difficile d'écrire à la première personne du pluriel, au "nous". Major évoque également la condition menacée de la province de Québec dans sa position nord-américaine qui provoque des conditions de vie particulières autant pour les citoyens que pour les artistes. Pour ces derniers, il devient très difficile de critiquer la société puisque ce faisant, ils se rangent alors du côté des dénigreurs de cette même société. La rupture nécessaire de l'écrivain est très ardue. Selon lui, la seule façon de s'engager sans devenir un dogmatique ou un "aligné" est de parler en son nom propre. L'exemple de Tchekhov comme modèle d'écrivain dans sa société est donné. André Major enchaîne ensuite en parlant du problème linguistique au Québec qu'il lie à l'infantilisme profond de la société québécoise. La polarisation uniquement vers le côté maternel crée un déséquilibre au sein de la société et Major se dit en faveur d'un retour de l'équilibre entre les deux pôles, maternel et paternel. En évacuant la figure d'autorité du père, la transgression et la délinquance linguistique et littéraire sont impossibles. Une maturation semble nécessaire. |
Mots clés | Considérations littéraires — Langue — Littérature — Littérature étrangère — Roman — Société — Souvenirs |
Remarques sur le document | Cette émission a été rediffusée le 1998-08-30 dans le cadre de l'émission "Séries diverses". |
Identifiant | 1798666 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
54 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
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Titre du segment | Écrivains du Canada anglais (3 de 10): Neil Bissoondath |
Date de création
| 1998-06-03 |
Durée du segment | 00:29:35 |
Invités | Poliquin Daniel, écrivain, traducteur; Bissoondath Neil, auteur; Bouchard Danielle, lectrice |
Artisans | Durand Monique, réalisatrice, intervieweuse; Vigeant André, animateur, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Première de deux entrevues réalisées par Monique Durand avec l'écrivain d'origine indienne Neil Bissoondath chez lui à Ste-Foy à Québec: son enfance et son adolescence à Trinidad, ses parents, l'influence de son oncle, l'écrivain V.S. Naipaul; sa découverte passionnée de la langue française; son arrivée au Canada, ses études et sa vie à Toronto; le début de sa carrière d'écrivain. De la musique sur disques complète l'émission. |
Mots clés | Langue — Littérature — Littérature anglo-canadienne — Littérature étrangère — Ontario — Roman — Société — Souvenirs |
Identifiant | 1260448 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
55 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
CBON BONJOUR
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Titre du segment | Rencontre avec Daniel Poliquin pour la Journée internationale du livre |
Date de création
| 1999-04-24 |
Invités | Poliquin Daniel, écrivain franco-ontarien, traducteur, récipiendaire du prix Trillium |
Artisans | Brunet Claude-Sophie, animatrice; Grenier Sara, réalisatrice; Gauthier Stéphane |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Daniel Poliquin, écrivain franco-ontarien, traducteur et récipiendaire du prix Trillium, explique ce qu'est un "écrivain du dimanche" et comment il partage son temps entre l'écriture et son travail de traducteur. Il parle des contes dans la littérature française au Canada et comment il les utilise dans ses romans. Il explique comment il s'est, à nouveau, approprié le français par son travail de traducteur. Il parle des sujets qu'il utilise dans ses romans comme la dénonciation de la domination linguistique, l'assimilation, l'aculturation et "comment se prendre en main", et de son roman historique. Il décrit sa période militante pour la défense des droits linguistiques des Franco-Ontariens. |
Mots clés | Langue — Littérature — Littérature franco-canadienne — Prix — Roman — Société — Traduction |
Remarques sur le document | Ville de diffusion : Sudbury. |
Identifiant | 120004587001 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
56 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
HISTOIRE DE PARLER
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Titre du segment | Entretien avec Francine Noël |
Date de création
| 2000-04-23 |
Durée du segment | 00:18:43 |
Invités | Noël Francine, auteure, professeure au Département de théâtre de l'Université du Québec à Montréal |
Artisans | Labrecque Michel, journaliste, animateur ; Raunet Daniel, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Francine Noël évoque son parcours et l'importance de la qualité de la langue dans son milieu familial, les niveaux de langue adaptés aux différentes situations qui se présentent dans la vie, le désir qu'elle a éprouvé très tôt de s'émanciper à l'égard du français parlé en France, l'usage du joual par Michel Tremblay, l'état de ses réflexions sur la langue parlée au Québec. Elle constate la pauvreté du vocabulaire chez certains jeunes Montréalais. Elle critique les effets des réformes dans le milieu de l'éducation au Québec. Elle parle du niveau de langue qu'elle utilise dans ses romans. |
Mots clés | Éducation — Joual — Langue — Littérature — Roman — Société — Souvenirs |
Identifiant | 1216424 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
57 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
UN DIMANCHE À LA RADIO
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Titre du segment | Chronique livres |
Date de création
| 2000-11-26 |
Durée du segment | 00:47:58 |
Invités | Villemaire Yolande, auteure, professeure |
Artisans | Giguère Suzanne, chroniqueuse; Lévesque Robert, chroniqueur; Moreau Francine, animatrice; Godin Claude, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Robert Lévesque fait le compte rendu critique du récit «Des airs de famille» de Paul Chanel Malenfant, récit de l'enfance de l'auteur dans une famille nombreuse du Bas-Saint-Laurent, et paru à l'Hexagone. 00:18:58 Suzanne Giguère introduit les récits «Les bruits de la terre» de Pierre Manseau, parus aux éditions Triptyque, par la lecture de l'ouvrage de Louis Lefebvre, «Le collier d'Hurracan». Elle résume quelques récits et fait l'analyse critique de l'oeuvre où tristesse, bonheur, accablement et condition de l'homme gai se côtoient. 00:35:53 Dans la série «Un écrivain nous présente un autre écrivain», Yolande Villemaire nous parle de Gaston Miron, mort en 1996. Elle évoque sa révélation de l'archétype du poète porte-parole d'un peuple lors du spectacle de Gaston Miron, «La marche à l'amour», en 1991 à Montréal. Des poèmes expriment la colère de l'auteur, l'importance du territoire, le rapport avec la collectivité et l'amour. Enseignante, elle témoigne du nouvel espoir qu'a fait naître chez des cégepiens la lecture des textes de Gaston Miron. Elle lit son poème «Le Chaman du Nord», écrit à la mémoire et en hommage à Gaston Miron. Elle fait part de sa réflexion sur la qualité de la langue parlée au Québec et l'éducation. Gallimard a publié, dans sa collection de poésie, «L'homme rapaillé» de Gaston Miron. Leurs propos sont entrecoupés de musique sur disque. |
Mots clés | Langue — Lectures — Littérature — Poésie — Roman — Société — Vient de paraître |
Identifiant | 1259573 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
58 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
UN DIMANCHE À LA RADIO
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Titre du segment | Chronique livres |
Date de création
| 2001-05-27 |
Durée du segment | 00:39:22 |
Invités | Ollivier Émile, auteur |
Artisans | Giguère Suzanne, chroniqueuse ; Guay Hervé, chroniqueur ; Lévesque Robert, chroniqueur ; Godin Claude, réalisateur, Moreau Francine, animatrice |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Robert Lévesque fait le compte rendu critique du premier recueil de nouvelles de Pascale Quiviger «Ni ciels, ni sols» aux éditions L'Instant même ; 00:18:05 Suzanne Giguère s'entretient avec Émile Ollivier à propos de son recueil de nouvelles «Regarde, regarde les lions» paru aux éditions Albin Michel. Il fait part de sa réflexion sur le thèmes récurrent de son oeuvre: l'exil, l'errance et la mémoire. Il explique sa conception des utopies ainsi que les motivations éthiques et esthétiques inhérentes à sa démarche littéraire. Il parle de son optimisme quant à l'avenir de l'humanité et de l'espoir combatif. Il parle de l'influence du rythme du créole dans ses oeuvres écrites en français. Il apporte des précisions concernant le choix du titre de sa nouvelle éponyme ; 00:45:09 Hervé Guay fait le compte rendu critique du roman «Un si long voyage» de Rohinton Mistry , une traduction de «Such a long journey», aux éditions Albin Michel. |
Mots clés | Langue — Littérature — Roman — Société — Vient de paraître |
Identifiant | 1310706 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
59 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
LE COEUR À L'ÉTÉ
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Titre du segment | Aventure littéraire avec David Homel |
Date de création
| 2004-07-23 |
Durée du segment | 00:13:27 |
Invités | Homel David, auteur, traducteur et chroniqueur à "La Presse" |
Artisans | Dussault Anne-Marie, animatrice ; Odinet Frédéric, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | David Homel parle de son travail en collaboration avec le traducteur Fred Reed et commente le Prix du gouverneur général qu'ils ont reçu pour leur traduction du livre "Le Cercle de Clara" de Martine Desjardins. Il explique son approche selon les textes qu'il traduit, sa technique de travail, son recours à son expérience d'écrivain. Il donne son point de vue sur le talent littéraire de Martine Desjardins et sur le défi inhérent au travail de traduction et parle de la supervision qu'il fait des traductions françaises de ses romans. |
Mots clés | Langue — Littérature — Prix — Roman — Société — Traduction |
Identifiant | 1663948 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
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