Résultats de recherche


Nouvelle recherche :

Recherche avancée
 

Nombre de documents trouvés : 22

Sélection : Sélectionner les résultats courants | Tout sélectionner | Exporter la sélection (0)



Bas de la page

Page 2 de 3 Première page Page précédente Page suivante Dernière page

   
11 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentDu Refus global au village global (6 de 20)
Date de création 1998-05-11
Durée du segment00:58:25
InvitésGauvreau Pierre, auteur, signataire du Refus global; Barbeau Marcel, peintre, signataire du Refus global; Leduc Fernand, peintre, signataire du Refus global; Renaud Thérèse, auteur, signataire du Refus global; Ferron Marcelle, peintre, signataire du Refus global; Riopelle Jean-Paul, peintre; Gagnon François-Marc, historien; Lapointe Gilles, historien d'art; Riopelle Françoise, danseuse, signataire du Refus global
ArtisansDenis Jean-Pierre, réalisateur, animateur; Marchand Jean
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméSixième volet de la série : Groupe et dissension. Le renvoi de Borduas à l'École du meuble a entraîné la dispersion rapide du groupe des Automatistes et peu se sont élevés pour le défendre. A-t-il été abandonné par les jeunes du mouvement qui l'avaient poussé vers le Refus global? L'enseignement de Borduas contenait-il le germe de l'éclatement du groupe automatiste? Des membres du mouvement et des observateurs se prononcent à ce sujet. Les signataires Gauvreau, Leduc, Renaud et Ferron disent la signification qu'avait pour eux le groupe des Automatistes. Tout au cours de l'émission, Marcelle Ferron dira que Borduas n'a jamais imposé son style et encourageait plutôt la marque personnelle. Selon elle, la question de la rivalité ne se posait pas entre Borduas et Riopelle, mais les deux hommes avaient peu de choses en commun (elle relate l'anecdote d'un souper); le problème de Riopelle envers Borduas relevait davantage du rapport au père et à sa reconnaissance qui aurait pu mettre en péril la réputation de génie spontané pour laquelle Riopelle était reconnu. Pierre Gauvreau établit la comparaison entre l'enseignement de Pellan et de Borduas et parle de Borduas comme d'un homme au jugement catégorique et tranchant. Le comédien Jean Marchand fait lecture de la lettre de Pierre Gauvreau et de Jean-Paul Riopelle adressée à Paul-Émile Borduas dans laquelle ils confrontent Borduas à propos d'une remarque que ce dernier a fait au sujet d'André Breton en regard de son texte sur le surréalisme. L'historien Jean-Marc Gagnon, en citant le travail d'écriture de Claude Gauvreau, aborde la notion "d'égrégore automatiste". Enfin, Gilles Lapointe relate l'histoire de la correspondance entre Borduas et Riopelle lors du séjour de ce dernier à Paris, la rencontre de Riopelle avec Pierre Loeb (célèbre marchand de tableau) et le refus de Borduas à l'invitation des surréalistes de Breton.
Mots clésAnniversairesArtAutomatismeCultureGroupes et réseauxParisSurréalisme
Identifiant1263830
Mise à jour 2019-03-07
Soumettre un commentaire
12 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentDu Refus global au village global (7 de 20)
Date de création 1998-05-12
Durée du segment00:58:20
InvitésDe Billy Hélène, auteur, biographe de Jean-Paul Riopelle; Leduc Fernand, peintre, signataire du Refus global; Bourassa André, historien
ArtisansDenis Jean-Pierre, réalisateur, animateur; Marchand Jean
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméSeptième volet de la série: les jeunes et Borduas. Riopelle et Leduc vont tenter fortune en France. Le nid se vide, le mouvement automatiste s'estompe. Lecture d'une longue lettre de Borduas qui révèle le statut qu'il détenait dans le groupe, soit celui d'un père plutôt que d'un chef, et qui témoigne de la première dissension avouée publiquement entre Riopelle et Borduas. Entrevue avec Hélène de Billy, biographe de Jean-Paul Riopelle: la nature de la relation entre Borduas et Riopelle, ce qui se joue entre les deux hommes dès l'École du meuble; le départ de Riopelle pour la France en 1947; Marcel Barbeau et Riopelle à l'époque de l'atelier de la ruelle. Hélène de Billy évoque la question de la rivalité entre Borduas et Riopelle, mais aussi la fierté qu'avait Borduas pour Riopelle, entre autres, au moment de l'exposition des deux Jean-Paul (Mousseau et Riopelle) chez Muriel Guilbault, l'échange épistolaire entre les deux hommes lors du séjour de Riopelle à Paris et les rencontres parisiennes de Riopelle avec Pierre Loeb, célèbre marchand de tableau, le surréaliste André Breton et l'artiste Antonin Artaud. Le peu de place donnée à Borduas dans la biographie de Riopelle. L'attachement de ce dernier pour le peintre Ozias Leduc. Le refus de Paul-Émile Borduas et de Fernand Leduc, un an avant Refus global, de participer à l'exposition surréaliste d'André Breton. Le style artistique de Riopelle qui se détache de l'automatisme qu'il voit comme un cul de sac. Fernand Leduc rappelle les circonstances qui ont mené à la rupture avec Paul-Émile Borduas. Lecture d'une lettre du 13 décembre 1948 de Fernand Leduc adressée à Paul-Émile Borduas où il fait part de ses réserves et lui fait valoir la nouvelle vision du monde qu'il a hérité de son nouveau maître spirituel Raymond Abellio.
Mots clésAnniversairesArtAutomatismeCultureExpositionsFranceParisSurréalisme
Identifiant1263923
Mise à jour 2019-03-07
Soumettre un commentaire
13 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentDu Refus global au village global (8 de 20)
Date de création 1998-05-13
Durée du segment00:59:25
InvitésGagnon François-Marc, historien; Fauteux Roger, ancien élève de Borduas; Barbeau Marcel, peintre, signataire du Refus global; Popovic Pierre, professeur à l'Université de Montréal; Fournier Marcel, sociologue
ArtisansDenis Jean-Pierre, animateur, intervieweur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméHuitième volet de la série : Le père en trop. Au cours de cette émission, on s'interroge sur la question du père, confrontant à nouveau le mythe Borduas au concept de figure paternelle, et on parle de la difficulté d'entreprendre une carrière artistique dans les années 1940 au Québec. Commentaires de François-Marc Gagnon, Marcel Fournier et Pierre Popovic. Entrevue avec le peintre Roger Fauteux, ancien élève de Borduas, qui témoigne de cette difficulté; Fauteux ne croyait pas à son talent et n'avait pas la passion pour tout risquer. De Borduas, on dira que l'une de ses plus grandes déceptions aura été de n'avoir pu convaincre Fauteux, dont il jugeait le talent prometteur, à poursuivre et à s'engager dans la voie de l'art; Roger Fauteux décrit l'homme qu'était Borduas. Entrevue avec Marcel Barbeau qui se rappelle l'époque où il a souffert de l'emprise de Borduas; dans les années 1944-1945, Borduas condamne alors sévèrement ses oeuvres. Défait, Barbeau les détruira toutes et s'en remettra difficilement. Marcel Barbeau raconte comment il conçoit aujourd'hui l'intervention de Borduas à ce moment-là. Il soulève, comparativement à la France, la non reconnaissance au Québec de l'expérience acquise qu'il associe à la destruction de la famille dans notre société. En fin d'émission, le sociologue Marcel Fournier tente d'expliquer la brièveté du mouvement automatiste comparé à l'impact et à la durée du mouvement surréaliste en France; selon lui, il s'agit davantage d'analyser plus largement ce qu'il advient d'une école dans des milieux sociaux et politiques différents. Présentation d'un court extrait d'un témoignage de Claude Gauvreau qui louange le rôle paternel joué par Borduas.
Mots clésAnniversairesArtAutomatismeCultureSociétéSociologieSurréalisme
Identifiant1263924
Mise à jour 2019-03-07
Soumettre un commentaire
14 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentDu Refus global au village global (11 de 20)
Date de création 1998-05-18
Durée du segment00:58:25
InvitésGagnon François-Marc, historien; Lapointe Gilles, historien de l'art; Sullivan Françoise, peintre, signataire du Refus global; Robert Guy, historien; Borduas Paul-Émile, peintre
ArtisansDenis Jean-Pierre, réalisateur, animateur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméOnzième volet de la série: Portrait de Paul-Émile Borduas. L'historien François-Marc Gagnon rappelle la jeunesse de Borduas, sa rencontre et son apprentissage avec le peintre Ozias Leduc qu'il accompagne pour la réalisation de décors d'églises, de son passage à l'École des Beaux-Arts où il obtient des résultats académiques médiocres. Il poursuit en racontant le départ de Borduas pour la France en 1928, son retour au Québec et l'obtention alors d'un poste de professeur de dessin dans les écoles primaires de la CECM (Commission des écoles catholiques de Montréal) au moment où la crise économique sévit, son entrée à l'École du Meuble dans les années 1930, son rapprochement avec des étudiants qu'il invite à fréquenter son atelier; témoignage de Françoise Sullivan, étudiante de Borduas, qui donne un aperçu de ces rencontres. Présentation d'un extrait d'une entrevue accordée par Paul-Émile Borduas en 1950 dans le cadre de l'émission Causeries: sa conception de l'enseignement de l'art. L'historien Guy Robert remet en doute le tempérament de révolutionnaire de Borduas en retraçant le parcours de l'artiste, de même que ses qualités intellectuelles. Les circonstances de la rencontre entre Pellan et Borduas, présentés l'un à l'autre par le peintre Jean-Paul Lemieux. La révélation de l'œuvre choc de Pellan en 1940-1941. La naissance des mouvements automatiste de Borduas et Prisme d'Yeux de Pellan. L'influence du Frère Jérôme sur Borduas. La naissance du noyau des Automatistes à l'École du meuble. Pellan et l'obtention du poste de professeur; l'affrontement avec Borduas. Quelques mots sur la personnalité de Pellan plus extravertie que Borduas. La rupture finale en 1955 entre Borduas et le groupe des Automatistes.
Mots clésAnniversairesArtAutomatismeCultureGroupes et réseauxSouvenirs
Identifiant1264021
Mise à jour 2019-03-07
Soumettre un commentaire
15 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentDu Refus global au village global (12 de 20)
Date de création 1998-05-19
Durée du segment00:58:25
InvitésFournier Marcel, sociologue; Robert Guy, historien; Abramovitch Sam, collectionneur d'art; Ferron Marcelle, peintre, signataire du Refus global; Camus Michel, auteur; Fisette Jean, professeur de littérature
ArtisansDenis Jean-Pierre, animateur, réalisateur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméDouzième volet de la série: Portrait de Borduas (suite). L'historien Guy Robert: les échecs de Borduas liés à sa vie personnelle, au mouvement automatiste et à l'artiste lui-même, le peintre, ce qu'il n'était pas selon Guy Robert. Guy Robert explique son jugement sur l'oeuvre et la qualité de peintre de Borduas. La rupture avec Fernand Leduc. Les tableaux de Provincetown, les plus beaux selon lui. Les derniers tableaux de Borduas, de la dramaturgie théâtrale, dira-t-il, et le spectre d'une mort annoncée. Borduas, initiateur de la modernité au Québec.
Sam Abramovitch, collectionneur d'art et connaissance de Borduas: Borduas, un artiste de grand talent; le style laborieux de Borduas; le séjour à Provincetown aux États-Unis; sa rencontre avec l'artiste qui lui disait partir pour mieux être reconnu là où il quittait et qui exprimait son ambition d'être reconnu comme le meilleur peintre au monde. Marcelle Ferron rappelle les causes des déboires de Borduas liés à des circonstances externes à l'homme selon elle; elle donne des exemples d'opportunités ratées. La série noir et blanc. Michel Camus rapporte une conversation entre Borduas et John Franklin Koenig sur l'humilité et l'orgueil. Jean Fisette parlera de Borduas en tant qu'initiateur d'une ferveur de création au Québec. Présentation d'un extrait d'une entrevue de Paul-Émile Borduas réalisée en 1953 par Judith Jasmin: sa conception de la perspective, la peinture parisienne, et d'un extrait d'une lettre qu'il adressait au frère Jérôme.
Mots clésAnniversairesArtAutomatismeCultureParisSociologieSouvenirs
Identifiant1264022
Mise à jour 2019-03-07
Soumettre un commentaire
16 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentDu Refus global au village global (15 de 20)
Date de création 1998-05-22
Durée du segment00:59:25
InvitésFerron Marcelle, peintre, signataire du Refus global; Saint-Pierre Marcel, peintre; Abramovitch Sam, collectionneur d'art; Fisette Jean, professeur de littérature; Gagnon François-Marc, historien; Lamoureux Johanne, historienne; Marontate Jane
ArtisansDenis Jean-Pierre, animateur, réalisateur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméQuinzième volet de la série: La Matière chante. Le titre de cette émission reprend celui d'une exposition organisée en 1954 par Claude Gauvreau, titre qui résume la vision que plusieurs artistes du mouvement avaient de l'œuvre vers laquelle ils tendaient. Tout au long de l'émission on discute du matérialisme de Paul Borduas et des Automatistes, de la traduction qu'ils en ont donné dans le domaine esthétique puisqu'ils ont fait le choix de privilégier la matérialité de l'œuvre appuyant sur son caractère concret, sur la matière travaillée par l'artiste. On tente d'expliquer comment ils en sont arrivés là. Ce seraient-ils inspirés de théories politiques, philosophiques ? Auraient-il emprunté au surréalisme qui prétendait pratiquer le matérialisme dialectique ? Ou est-ce le contexte religieux qui les entourait qui les aurait poussés vers cette option ? L'appréciation de l'art automatiste.
Mots clésAnniversairesArtAutomatismeCultureExpositionsSociétéSurréalisme
Identifiant1264070
Mise à jour 2019-03-07
Soumettre un commentaire
17 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentDu Refus global au village global (16 de 20)
Date de création 1998-05-25
Durée du segment00:59:00
InvitésSmart Patricia, historienne, auteure de "Les femmes du Refus global"; Arbour Rose-Marie; Renaud Thérèse, auteur, signataire du Refus global; Sullivan Françoise, peintre, signataire du Refus global; Renaud Jeanne, danseuse
ArtisansDenis Jean-Pierre, animateur, réalisateur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméSeizième volet de la série: l'art au féminin (1 de 3). Émission consacrée aux femmes qui ont contribué à la formation et à l'évolution du mouvement automatiste au Québec. Entrevue avec Patricia Smart, auteure de "Les femmes du Refus global" et Rose-Marie Arbour, auteure de "Le cercle des automatistes et la différence des femmes" : l'importance de souligner dans la production automatiste l'existence de deux manuscrits poétiques, l'un de Thérèse Renaud, l'autre de Suzanne Meloche, artiste peintre; pourquoi on a marginalisé les femmes artistes; le mythe des "petites amies" des hommes du mouvement; l'esthétique automatiste féminin; l'idéalisme des hommes et le réalisme des femmes chez les Automatistes; la contribution des femmes par le biais de la nombreuse documentation qu'elles rapporteront de leurs voyages à l'étranger; on souligne particulièrement l'apport de l'artiste Louise Renaud. Thérèse Renaud raconte son enfance et ses premiers coups de coeur pour le théâtre grâce à la fréquentation de sa cousine, Estelle Mauffette; son séjour à Paris et son expérience de chanteuse de retour à Montréal. Françoise Sullivan et Jeanne Renaud: le rapport de Borduas avec les femmes du mouvement automatiste.
Mots clésAnniversairesArtAutomatismeChansonCultureFemmesLittératureParisSouvenirsThéâtre
Identifiant1264071
Mise à jour 2019-03-07
Soumettre un commentaire
18 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentDu Refus global au village global (17 de 20)
Date de création 1998-05-26
Durée du segment00:59:20
InvitésSmart Patricia, historienne, auteure de "Les femmes du Refus global"; Marchand Jean, comédien, lecteur; Faucher Sophie, comédienne, lectrice; Arbour Rose-Marie; Gauvreau Pierre, auteur, signataire du Refus global
ArtisansDenis Jean-Pierre, animateur, réalisateur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméDix-septième volet de la série: l'art au féminin (2 de 3). Émission consacrée aux femmes qui ont contribué à la formation et à l'évolution du mouvement automatiste au Québec. Entrevue avec Patricia Smart, auteure de "Les femmes du Refus global": les différences entre les écoles automatiste et surréaliste, cette dernière marquée par un univers masculin où le corps de la femme est au centre de leurs préoccupations; le style de vie avant-gardiste de Mme Gauvreau, mère de Pierre et Claude, une militante qui a servi de modèle aux femmes du mouvement automatiste. Pierre Gauvreau rappelle les origines bourgeoises de sa mère, le mariage en 1921 et la séparation de ses parents en 1925, la vie de sa mère après la rupture, la mise sur pied d'un salon où elle réunissait des artistes. Lecture d'un extrait du texte "Beauté baroque" de Claude Gauvreau, relatant le récit d'un avortement et qui se veut l'écho du destin tragique de Muriel Guilbault, une femme en rupture avec les valeurs de son époque. Rose-Marie Arbour, auteure de «Le cercle des automatistes et la différence des femmes», poursuit la réflexion la conception des femmes par les surréalistes versus la conception plus laïque des hommes du groupe automatiste; les femmes du mouvement automatiste, des artistes multidisciplinaires en art. Entrevue avec Jeanne Renaud et Françoise Sullivan au sujet de leur démarche créatrice dans la danse. Lecture d'un texte de Françoise Sullivan sur la recherche de la vérité dans le corps.
Mots clésAnniversairesArtAutomatismeCultureFemmesLecturesSouvenirsSurréalisme
Identifiant1264704
Mise à jour 2019-03-07
Soumettre un commentaire
19 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentDu Refus global au village global (18 de 20)
Date de création 1998-05-27
Durée du segment00:59:25
InvitésArbour Madeleine, signataire du Refus global; Trépanier Esther, historienne de l'art
ArtisansDenis Jean-Pierre, animateur, réalisateur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméDix-huitième volet de la série: l'art au féminin (3 de 3). Émission consacrée aux femmes qui ont contribué à la formation et à l'évolution du mouvement automatiste au Québec. L'historienne de l'art, Esther Trépanier, évoque les années 1920 et 1930 afin de rappeler que la modernité, notamment celle des femmes, ne commence pas avec Paul-Émile Borduas et son groupe. Les femmes du Beaver Hall Club de Montréal. Les artistes féminines des années 1930: Marian Scott, Mary Cassat, etc. L'avènement de la crise en 1929 et sa représentativité en art. Esther Trépanier souligne la longue tradition de l'enseignement de l'art aux enfants, initiée en 1936 par le docteur Norman Bethune avec l'aide de Marian Scott, surtout du côté de la communauté anglophone de Montréal qui a été particulièrement sensible à la démocratisation de l'art auprès des moins nantis; l'art des enfants et celui des Amérindiens, justifications de la spontanéité. Entrevue avec Madeleine Arbour (signataire du Refus global), âgée de plus de soixante-dix ans et toujours active: son apprentissage autodidacte de l'art, sa première rencontre avec Borduas, la sensibilité qui émane d'une oeuvre d'art; son travail à la télévision dans le secteur des émissions jeunesse, puis aux émissions féminines à Radio-Canada; son souci de faire découvrir les belles choses au gens pour qu'ils puissent s'en inspirer; la réaction négative de sa mère face à son désir d'évoluer dans le milieu des arts; la dimension mystique de la vie.
Mots clésAnniversairesArtAutomatismeCultureFemmesGroupes et réseauxMédias
Identifiant1264705
Mise à jour 2019-03-07
Soumettre un commentaire
20 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentDu Refus global au village global (19 de 20)
Date de création 1998-05-28
Durée du segment00:59:25
InvitésBarbeau Manon, réalisatrice; Larose Jean, auteur; Barbeau François, frère de Manon Barbeau; Riopelle Jean-Paul, peintre, signataire du Refus global
ArtisansDenis Jean-Pierre, réalisateur, animateur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméDix-neuvième volet de la série: Les enfants du Refus global. Manon Barbeau, la fille du peintre Marcel Barbeau, a réalisé le film intitulé "Les enfants du Refus global", une production de l'Office National du Film. Ce film a provoqué une polémique, particulièrement chez les signataires du Refus global, que son auteur et l'écrivain Jean Larose viennent évoquer. Manon Barbeau fait le point sur ses intentions quand elle a produit son film qui se veut une reconstitution de son passé et une démarche pour se réapproprier son enfance; elle s'étonne que les signataires du Refus global n'accueillent pas ses propos et ne veulent pas entendre ce qu'elle a à dire. Jean Larose parle de Borduas comme celui qui a introduit au Québec la secte religieuse de la création; le pouvoir idéologique du texte Refus global. Marcel Barbeau: le déchirement de la structure familiale, le désir des adolescents de détruire le père; le manque de reconnaissance à son égard en tant qu'artiste; il met en cause l'éducation des jeunes dans les écoles. Sur ces propos, Manon Barbeau et Jean Larose poursuivent la discussion; ils abordent la question du suicide et parlent de la création de nouvelles structures familiales pour que cesse de s'élargir le fossé entre jeunes et vieux.
Mots clésAnniversairesArtAutomatismeCinémaCultureDébatsÉducationSociété
Identifiant1264739
Mise à jour 2019-03-07
Soumettre un commentaire
Page 2 de 3 Première page Page précédente Page suivante Dernière page

Haut de la page

 
Chercher dans les résultats


 
Mots recherchés
  • Art
Formats
Radio (21)
Captation vidéo (1)
Diffusion
1960-1964 (1)
1965-1969 (1)
1985-1989 (4)
1995-1999 (15)
2000-2004 (1)
Mots clés
Anniversaires (22)
Art (22)
Culture (20)
Automatisme (17)
Société (7)
Tout afficher
Titres et séries
Tout afficher
Collections

© 2008 Centre d'archives Gaston-Miron