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Format |
Radio
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Titre de l'émission |
QUI ETES-VOUS?
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Titre du segment | Gilles Vigneault (2 de 3) |
Date de création
| 1996-03-05 |
Durée du segment | 00:29:22 |
Invités | Vigneault Gilles, auteur-compositeur-interprète, chansonnier |
Artisans | Major André, réalisateur, coordonnateur; Pedneault Hélène, animatrice |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | (2 de 3) Autoportrait de Gilles Vigneault. Il est question des mots et de l'origine du langage. Sa peur des mots. Son inspiration pour écrire ses chansons. Sa préoccupation pour les mots et leur utilisation. Il donne comme exemple les artistes japonais de renom qui deviennent des trésors nationaux sacrés. Il dénonce l'utilisation des chansons faite par la publicité et le non respect des droits d'auteur. Ses préoccupations politiques illustrées dans ses chansons dont le nationalisme. Il souligne l'importance d'inclure les minorités culturelles dans le projet souverainiste. |
Mots clés | Chanson — Culture — Indépendantisme — Langue — Nationalisme — Politique — Société — Souvenirs |
Remarques sur le document | Cette émission a été rediffusée le 1996-12-17. |
Identifiant | 1628572 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
2 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
ELOGE DE L'INDIGNATION
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Date de création
| 1996-07-07 |
Invités | Seymour Michel, philosophe, professeur, président de la Société de philosophie du Québec, président du Regroupement des intellectuels pour la souveraineté |
Artisans | Pedneault Hélène, animatrice, réalisatrice |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Entrevue avec Michel Seymour, philosophe, professeur à l'Université de Montréal, président de la Société de philosophie du Québec et du Regroupement des intellectuels pour la souveraineté, qui s'indigne devant l'inaction de plusieurs intellectuels. Il est l'auteur de "Pensée, langage et communauté: une perspective anti-individualiste", publié chez Bellarmin et travaille à un livre dont le titre provisoire est "Théorie et pratique du nationalisme libéral: le cas du Québec". Il donne sa définition du terme intellectuel et explique pourquoi celui-ci est perçu de façon péjorative au Québec. Il parle du concept de citoyenneté et souligne l'absence, dans l'histoire, de textes philosophiques sur l'indignation, tout en remarquant qu'actuellement la surinformation dans la société technologique crée un certain désespoir chez l'individu. |
Mots clés | Culture — Médias — Nationalisme — Politique — Société |
Identifiant | 102880001 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
3 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
L'AVENTURE
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Titre du segment | L'aventure de la Société Saint-Jean-Baptiste |
Date de création
| 1997-02-17 |
Durée du segment | 00:48:12 |
Invités | Germain Jean-Claude, historien |
Artisans | Blondin Robert, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Robert Blondin présente l'aventure de la Société Saint-Jean-Baptiste avec l'historien Jean-Claude Germain. Ils se retrouvent à la maison Ludger-Duvernay, à Montréal, siège social de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal. Au début du siècle, le gouvernement provincial ne joue pas toujours son rôle. Certaines tâches qu'il devrait accomplir sont prises en main par la SSJB. Ainsi, lors de la Première guerre mondiale, l'image des Canadiens-français est ternie à l'étranger car ils ne veulent pas aller à la guerre et les Américains ainsi que les Français ne comprennent pas pourquoi. La SSJB va créer un bureau de publicité et il y aura un correspondant à Boston qui écrira des articles ou fera des rectifications dans les médias. La SSJB continue de jouer son rôle d'éducation populaire en finançant des émissions de radio qui sont axées sur l'histoire. La francisation est également un dossier important. La SSJB réussit à ce que le gouvernement ordonne à la compagnie Bell Téléphone qu'elle inscrive les bureaux de l'administration provinciale en français et en anglais dans les bottins. Elle exige également que l'administration municipale de Montréal conçoive ses documents dans les deux langues. À Noël 1924, grâce à Victor Morin, la croix sur le Mont-Royal s'illumine. En 1926, on érige un monument aux Patriotes. En 1934, c'est le centenaire de la SSJB et on fait le bilan de ces cent ans. Le monument national, ses cours publiques, la Caisse nationale d'économie, la caisse de remboursement, la Société nationale de fiducie, l'institution d'un concours d'histoire, la publication de "L'oiseau bleu" (revue pour enfants), les émissions hebdomadaires de radio à CKAC. En 1935, Joseph Dansereau énonce une définition du nationalisme qui deviendra la doctrine de la SSJB. Le nationalisme, c'est la fière notion de soi et l'énergique poursuite de sa destinée. En 1939, la SSJB s'opposera encore à la conscription. En 1947, le président de la SSJB, Roger Duhamel, fondera deux institutions: les prix littéraires et le prêt d'honneur. La SSJB sera active dans les années 1970 lorsque les conflits pour la langue réapparaîtront avec la loi 22 et la loi 63. Aujourd'hui, elle reste avec le mandat de son origine, un lieu de discussion, en dehors des partis politiques. |
Mots clés | Culture — Groupes et réseaux — Histoire — Langue — Nationalisme — Politique — Société |
Identifiant | 1254015 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
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