1 |
Format |
Radio
|
Titre de l'émission |
QUESTIONS DE NOTRE TEMPS
|
Titre du segment | Vingt ans d'évolution de la langue française |
Date de création
| 1986-03-26 |
Artisans | Gagnon Jacques-Henri, réalisation; Oliveau Maryvonne, recherche et entrevue; Tremblay Maurice, technicien; Hudon Renée, animatrice |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
|
Résumé | Série de cinq émissions qui se veut un survol de l'évolution de la langue parlée au Québec depuis les 25 dernières années. Aujourd'hui, "un joual pour mon royaume", première partie.
On rappelle le contexte socio-politique des années 60 avec la prise de pouvoir de "l'équipe du tonnerre" de Jean Lesage et avec la parution des "Insolences du Frère Untel", ouvrage qui remet en question le système d'enseignement au Canada français. Dans une entrevue d'archive, l'auteur s'explique sur l'emploi du mot joual pour désigner le non-langage. Il est également question de la transformation du joual en dénonciation d'une condition d'infériorité et en cri de colère par une jeune génération, des nombreux débats ayant porté sur la question, de la création de l'Office de la langue française à la même époque au Québec, de l'apparition, en 1964, du ministère de l'Éducation, marquant le début de la laïcisation du Québec, de la parution du "Cassé" de Jacques Renaud en 1964, premier livre écrit uniquement en joual et édité par les Éditions Parti pris et du combat sur la langue qui devient un combat politique et social. Entretien avec Jean-Claude Corbeil, attaché à la Coopération linguistique internationale, sur les différentes périodes du phénomène du joual. On parle aussi de la venue sur la scène musicale de Robert Charlebois, de l'ouverture des cégeps en 1967, de la fondation, la même année, de l'Association québécoise des professeurs de français, de la popularité de l'Osstidcho qui se réclame d'une américanité française, du phénomène des "Belles-soeurs" de Michel Tremblay au théâtre en 1968 et de la fondation par René Lévesque, la même année, du Parti québécois. |
Mots clés | Chanson — Culture — Éducation — Essai — Indépendantisme — Langue — Littérature — Politique — Roman — Société — Spectacle — Théâtre |
Identifiant | 1407859 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
2 |
Format |
Télévision
|
Titre de l'émission |
MAISONNEUVE A L'ÉCOUTE
|
Titre du segment | Michel Tremblay, écrivain |
Date de création
| 1999-11-15 |
Durée du segment | 00:47:55 |
Invités | Tremblay Michel, écrivain |
Artisans | Maisonneuve Pierre, journaliste, intervieweur; Mathon Gérald, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
|
Résumé | Michel Tremblay analyse l'influence de ses idées politiques dans son oeuvre et sa carrière. Les raisons pour lesquelles il accepte ou refuse des prix ou des bourses offerts par des instances fédérales, comme celui du gouverneur général du Canada pour les arts de la scène. Sa position face à la production de ses pièces en anglais entre 1968 et 1976. Son amertume à l'égard de la politique souverainiste, l'implication des artistes pour l'indépendance et sa désillusion face au peu de pouvoir qu'ils ont de changer les choses. Il parle ensuite de son dernier roman "Hôtel Bristol, New York, N.Y." La partie autobiographique et la partie fiction dans son oeuvre. La différence entre lui et son personnage Jean-Marc, qui lui sert d'alibi pour exprimer des choses très intimes. Les thèmes abordés dans "Hôtel Bristol": le besoin d'identité, le racisme au Québec, ainsi que le choix du genre épistolaire du roman. Il commente la production des "Belles-Soeurs" en italien et un tour guidé du Plateau Mont-Royal sur "Le monde de Michel Tremblay". Il évoque ses débuts d'auteur de théâtre et dit qu'il écrit pour exprimer des choses, il n'a rien à prouver. |
Mots clés | Indépendantisme — Littérature — Politique — Prix — Roman — Théâtre |
Identifiant | 747728 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
Haut de la page
|
|
Chercher dans les résultats |
|
|
Mots recherchés | | |
Formats | | | Diffusion | | | Mots clés | | Tout afficher | Titres et séries | | | Collections | | |
|
Commentaires
Soumettre un commentaire