1 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
ESQUISSES POUR UN PORTRAIT
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Titre du segment | Libre discussion |
Date de création
| 1961-06-10 |
Invités | Brunet Michel, historien; Dumont Fernand, sociologue; Lussier André, psychologue; Rioux Marcel, ethnologue, anthropologue |
Artisans | Séguin Fernand, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Libre discussion tendant à dégager les traits les plus marquants d'une identité canadienne-française en voie de se modifier - Le rôle de la télévision et de la radio dans notre milieu et l'image qu'elles offrent du Canadien-français. L'influence des moyens de diffusion sur le milieu et leur apport à l'unité de la collectivité canadienne-française. Le phénomène René Lévesque, un produit de ces nouveaux moyens de communication. Témoignage de Michel Brunet. L'éveil d'un intérêt politique démocratique. Critique du rôle et de l'influence des continuités ou des téléromans. Amélioration de la langue parlée. Influences sur la mentalité canadienne-française en général. Le rôle et les objectifs que devraient poursuivre la radio et la télévision. |
Mots clés | Culture — Histoire — Langue — Médias — Politique — Société — Sociologie |
Identifiant | 550421 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
2 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
HORIZONS
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Titre de l'épisode | La querelle du régionalisme |
Date de création
| 1979-12-05 |
Invités | Barbeau Victor, écrivain; Hayward Annette, auteure d'une thèse de doctorat sur le régionalisme |
Artisans | Beaudoin Réjean, animateur; Major André, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Au début du XXe, s'engage dans les milieux littéraires du Québec un débat virulent sur le régionalisme. Deux invités, Victor Barbeau, écrivain, et Annette Hayward, auteure d'une thèse sur le sujet, décrivent les effets de ce conflit sur la langue et la littérature canadienne-française. Ils en présentent les différents polémistes, les exotistes d'une part et les régionalistes d'autre part, et expliquent le rapport qu'entretient cette querelle avec l'histoire culturelle et la situation socio-politique du Québec. |
Mots clés | Culture — Débats — Groupes et réseaux — Histoire — Langue — Littérature — Société |
Identifiant | 70890001 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
3 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
SI LA RADIO M'ETAIT CONTEE
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Titre du segment | La radio française de la Société Radio-Canada : une réalité |
Date de création
| 1980-04-17 |
Durée du segment | 00:34:07 |
Invités | Arthur Gérard, animateur ancien présentateur et pionnier de Radio-Canada; Ouimet Alphonse, ancien président de Radio-Canada et pionnier de la télévision |
Artisans | Laplante Raymond, animateur; Raymond Marie, recherchiste; Sincennes Pauline, réalisatrice |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Histoire de Radio-Canada et de ses postes affiliés (suite de 2 de 21). Gérard Arthur continue de rappeler l'histoire de la radio de Radio-Canada. Le 1er novembre 1936, la "Commission canadienne de la radiodiffusion" change de nom pour "Canadian Broadcasting Corporation" (en anglais) et "Société Radio-Canada" (en français). Le premier présentateur qui a prononcé l'indicatif "Ici Radio-Canada" sur les ondes fut Jacques Desbaillets le 1er novembre 1936. Gérard Arthur rend hommage à ce présentateur. Il mentionne le rôle d'Arthur Dupont, directeur des programmes à l'époque et père de l'indicatif de Radio-Canada. Il nomme les priorités quand il a succédé à Roony Pelletier à la direction des programmes. Il évoque la qualité du travail des techniciens de Radio-Canada. Il parle des problèmes de budget et donne l'exemple de l'émission "Sénérade pour cordes" avec le chef d'orchestre Jean Deslauriers. Évocation de Roger Daveluy, premier réalisateur des opéras du Métropolitan du samedi et mention de l'embauche du présentateur Paul Dupuis. Gérard Arthur raconte l'historique et le niveau intellectuel de l'émission quiz "S.V.P.", diffusée fin 1937, avec Louis Francoeur, Louis Bourgoin, Léopold Morin, le présentateur Tony Leclerc et Paul Morin. Il mentionne une anecdote à propos de ce dernier. L'émission "Les Fureurs d'un puriste" est évoquée ainsi que la rigueur impitoyable de Paul Morin, qui en était l'animateur. Raymond Laplante évoque une communication du linguiste Robert Dubuc présentée à la 7e Biennale de la langue française tenue à Moncton, rendant hommage aux pionniers de Radio-Canada pour leur contribution à la sauvegarde de la langue et de la culture canadiennes-françaises. Alphonse Ouimet raconte l'importance du reportage de la visite de la reine d'Angleterre au Canada. Les moyens techniques et humains employés pour la couverture de cette visite royale de 1939. |
Mots clés | Culture — Histoire — Langue — Médias — Radio-Canada — Société |
Identifiant | 1724645 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
4 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
SI LA RADIO M'ETAIT CONTEE
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Titre du segment | L'avenir du réseau français de la radio de Radio-Canada |
Date de création
| 1980-08-28 |
Durée du segment | 00:41:12 |
Invités | Bergeron Henri, animateur, présentateur, pionnier de Radio-Canada; Chouinard Pierre, animateur, présentateur à Radio-Canada; David Raymond, directeur général de la radio et de la télévision française; Gaudet Marie-Rose, auditrice de CBAF Moncton; Joël Le Bigot, animateur, présentateur à Radio-Canada; Legendre Paul, réalisateur; Mauffette Guy, réalisateur, animateur, pionnier de la radio |
Artisans | Laplante Raymond, animateur; Raymond Marie, recherchiste; Sincennes Pauline, réalisatrice |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Histoire de Radio-Canada et de ses postes affiliés (21 de 21). Guy Mauffette évoque avec nostalgie les belles années de la radio d'autrefois. Les phénomènes sociaux à l'origine des changements qu'elle a subis. Raymond Laplante poursuit le rappel historique de la radio et commente son rôle dans la prise de conscience et la survie de l'identité des communautés canadiennes-françaises à travers le pays. Paul Legendre affirme que la radio est un miroir de la société mais elle doit également être un moteur de la société. Raymond David donne le bilan de 50 ans d'exploitation du réseau français. Il rappelle le mandat de Radio-Canada. L'avènement de la télévision et ses conséquences à la radio. Henri Bergeron, Joël Le Bigot, Pierre Chouinard évoquent avec Raymond Laplante la mutation du présentateur en communicateur. L'évolution de la parole sur les ondes à travers les styles des animateurs et les impératifs de l'évolution de la société francophone à partir des années 60. La période déclamatoire d'avant-guerre. La période mivillienne ou l'impersonnalité du communicateur. La période post-mivillienne et l'improvisation sur les ondes. L'impact communicateur des tribunes téléphoniques et de la participation de l'auditoire aux émissions. Un hommage à René Lecavalier pour son apport linguistique à la radiophonie. La terminologie radiophonique. L'éclosion d'une meilleure connaissance du monde de la communication et ses conséquences positives dans les rapports animateur-auditoire. Le bavardage à la radio. La différence entre le AM et le FM. La mobilité de la radio par rapport à la télévision et ses nouvelles fonctions dans les communications de masse. La dégénération du français dans l'actualité. Les communicateurs régionaux, dont ceux de l'Acadie, et leur langage du coeur. Marie-Rose Gaudet, auditrice de CBAF Moncton, mentionne le plaisir pour les Acadiens d'écouter des voix acadiennes comme "Le Noël de la Sagouine" en octobre 1979. Raymond David évoque l'accroissement de la programmation régionale. La division du travail de production entre le réseau et les régions d'après leurs intérêts respectifs. La création des mini-réseaux régionaux dont ceux de l'Ontario. Le pourquoi de la priorité accordée par Radio-Canada à l'enrichissement et au développement des services régionaux au détriment de l'extension du réseau. Le but de leurs rencontres avec l'auditoire. |
Mots clés | Culture — Histoire — Langue — Médias — Radio-Canada — Société |
Identifiant | 661980 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
5 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
L'AVENTURE
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Titre du segment | L'aventure de la Société Saint-Jean-Baptiste |
Date de création
| 1997-02-17 |
Durée du segment | 00:48:12 |
Invités | Germain Jean-Claude, historien |
Artisans | Blondin Robert, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Robert Blondin présente l'aventure de la Société Saint-Jean-Baptiste avec l'historien Jean-Claude Germain. Ils se retrouvent à la maison Ludger-Duvernay, à Montréal, siège social de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal. Au début du siècle, le gouvernement provincial ne joue pas toujours son rôle. Certaines tâches qu'il devrait accomplir sont prises en main par la SSJB. Ainsi, lors de la Première guerre mondiale, l'image des Canadiens-français est ternie à l'étranger car ils ne veulent pas aller à la guerre et les Américains ainsi que les Français ne comprennent pas pourquoi. La SSJB va créer un bureau de publicité et il y aura un correspondant à Boston qui écrira des articles ou fera des rectifications dans les médias. La SSJB continue de jouer son rôle d'éducation populaire en finançant des émissions de radio qui sont axées sur l'histoire. La francisation est également un dossier important. La SSJB réussit à ce que le gouvernement ordonne à la compagnie Bell Téléphone qu'elle inscrive les bureaux de l'administration provinciale en français et en anglais dans les bottins. Elle exige également que l'administration municipale de Montréal conçoive ses documents dans les deux langues. À Noël 1924, grâce à Victor Morin, la croix sur le Mont-Royal s'illumine. En 1926, on érige un monument aux Patriotes. En 1934, c'est le centenaire de la SSJB et on fait le bilan de ces cent ans. Le monument national, ses cours publiques, la Caisse nationale d'économie, la caisse de remboursement, la Société nationale de fiducie, l'institution d'un concours d'histoire, la publication de "L'oiseau bleu" (revue pour enfants), les émissions hebdomadaires de radio à CKAC. En 1935, Joseph Dansereau énonce une définition du nationalisme qui deviendra la doctrine de la SSJB. Le nationalisme, c'est la fière notion de soi et l'énergique poursuite de sa destinée. En 1939, la SSJB s'opposera encore à la conscription. En 1947, le président de la SSJB, Roger Duhamel, fondera deux institutions: les prix littéraires et le prêt d'honneur. La SSJB sera active dans les années 1970 lorsque les conflits pour la langue réapparaîtront avec la loi 22 et la loi 63. Aujourd'hui, elle reste avec le mandat de son origine, un lieu de discussion, en dehors des partis politiques. |
Mots clés | Culture — Groupes et réseaux — Histoire — Langue — Nationalisme — Politique — Société |
Identifiant | 1254015 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
6 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
HISTOIRE DE PARLER
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Titre du segment | Radio-Canada et la langue |
Date de création
| 2000-06-04 |
Durée du segment | 00:31:03 |
Invités | Martel Pierre, linguiste ; Dubuc Robert, terminologue, ex-directeur du Service linguistique de Radio-Canada ; Chouinard Camil, ex-journaliste et conseiller linguistique ; de Villers Marie-Éva, linguiste aux HEC, auteure ; Ouellon Conrad, linguiste ; Barbaud Philippe, universitaire ; Gourd Daniel, responsable des émissions de variété à Radio-Canada ; Laporte Stéphane, auteur, dialoguiste ; Bertrand Guy, conseiller linguistique à Radio-Canada |
Artisans | Labrecque Michel, journaliste, animateur ; Raunet Daniel, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Pierre Martel fait ressortir l'importance du rôle de Radio-Canada dans évolution de la langue parlée au Québec et la renommée et le rayonnement du service de linguistique de Radio-Canada à une certaine époque. Il constate l'usage depuis quelques années d'une langue plus familière et spontanée à Radio-Canada.
Robert Dubuc parle du rôle de modèle que Radio-Canada a joué auprès de la population québécoise, la qualité de la langue pour les pionniers de Radio-Canada. Il se rappelle le contexte dans lequel a été adopté l'expression moto-neige. Il tente d'expliquer les raisons du démantèlement en 1985 du service de linguistique de Radio-Canada.
Camil Chouinard parle de la contribution de René Lecavalier à innover en matière de terminologie dans le monde du sport. Il donne un aperçu du travail effectué à une certaine époque pour élaborer une banque de terminologie. Marie-Éva de Villers et Philippe Barbaud donnent leur point de vue sur le niveau de langue parlé au "Téléjournal" de Radio-Canada. Mme de Villers, à partir d'exemples concrets tirés d'émissions d'information, corrige les fautes qu'elle y a relevées. Conrad Ouellon approuve les nouvelles orientations langagières dans les émissions d'information du télédiffuseur public mais critique le laisser-aller observé dans certaines émissions de variété.
Daniel Gourd évoque les difficultés rencontrées dans le recrutement de personnel ayant un niveau de langage soutenu. Il fait la distinction entre les réalités observées à la radio et à la télévision de Radio-Canada. Stéphane Laporte se plaint des exigences de Radio-Canada en matière de qualité de la langue. Guy Bertrand témoigne de la situation vécue à Radio-Canada. |
Mots clés | Culture — Histoire — Langue — Linguistique — Médias — Politique — Radio-Canada — Société |
Identifiant | 1209364 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
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