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Format |
Radio
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Titre de l'émission |
LE MATIN DE LA FÊTE
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Titre du segment | Entretien sur des questions historiques, religieuses ou morales |
Date de création
| 1986-02-02 |
Invités | Monet-Chartrand Simone |
Artisans | Deschamps Jean, journaliste, interviewer; Gariépy Pierre, réalisateur; Ladouceur Jean-Marie, recherchiste; Sauriol Jean-Pierre, présentateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Entretien sur des questions historiques, religieuses ou morales - L'histoire de l'Action catholique au Canada français. Simone Monet-Chartrand évoque des souvenirs qui lui restent de ses premiers contacts avec la JEC au pensionnat Marie-Rose dirigé par les Soeurs de Jésus-Marie, ses premiers contacts avec le père Émile Legault et la vie dans les pensionnats pour jeunes filles dans les années 1930.
Elle trace un portrait de ses parents et de son milieu familial et parle de la discrimination pratiquée au sein de la société québécoise de l'époque à l'endroit des religieuses et de leur formation intellectuelle. Elle traite aussi de sa vision de la spiritualité et des manifestations de son mysticisme, de son mandat à la présidence de la JEC au pensionnat Marie-Rose et de la formation dont elle a bénéficié, du cheminement qui l'a menée à la direction de la JEC sur le plan national, de sa participation en 1939 en tant que déléguée canadienne au congrès international d'universitaires catholiques à New-York et à Washington, de l'interruption de leur congrès suite à la déclaration de la deuxième guerre mondiale, des tendances observées au sein de l'Action catholique, des remous suscités au Québec par la conscription, des idéaux qui animaient les jeunes filles qui oeuvraient dans la JEC.
Elle rappelle son engagement pour la défense des droits des femme et les évêques qu'elle a côtoyés lorsqu'elle était à la direction de la JEC et termine en expliquant les manifestations de sa foi. |
Mots clés | Culture — Éducation — Femmes — Histoire — Politique — Religion — Société — Souvenirs |
Identifiant | 702562 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
22 |
Format |
Télévision
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Titre de l'émission |
MAISONNEUVE A L'ÉCOUTE
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Titre du segment | Hommage au père Georges-Henri Lévesque |
Date de création
| 2000-01-17 |
Durée du segment | 00:26:00 |
Invités | Valcour Pierre, réalisateur, ami ; Rocher Guy, sociologue, ami |
Artisans | Maisonneuve Pierre, journaliste, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Pierre Valcour et Guy Rocher tracent un portrait du père Georges-Henri Lévesque et lui rendent hommage. Ils évoquent la fondation de la Faculté des sciences sociales par le père Georges-Henri Lévesque et le fait qu'il ait été parfaire sa formation en France, la formation en science sociale dans les années '30 relevant souvent du type de l'essai au Québec. Pour eux, le père Lévesque était un homme de coeur et de synthèse. Ils racontent quelques souvenirs alors qu'ils suivaient ses cours et soulignent que le père Lévesque a formé plusieurs personnalités du Québec. Ils rappellent que les facultés de sociologie étaient un lieu de contestation et que père Lévesque n'était pas l'ennemi de Maurice Duplessis mais dérangeait grandement le clergé, le gouvernement et la vie universitaire, qu'il était en faveur de la déconfessionnalisation et qu'il a été mêlé à la grève d'Asbestos. Selon eux, dans son quotidien, Georges-Henri Lévesque était un homme très sensible, il se préoccupait énormément des artistes comme l'indique son implication dans la commission Massé. Ils donnent les raisons de son départ pour le Rwanda, où il a ouvert une université. Le père a été grandement affecté par l'incendie qui s'est produit à la maison Montmorency et par le génocide au Rwanda. Ils concluent en disant que le père Lévesque occupe une place importante dans l'histoire du Québec et du Canada. |
Mots clés | Éducation — Histoire — Politique — Religion — Société — Sociologie — Syndicalisme |
Identifiant | 1188193 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
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