81 |
Format |
Télévision
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Titre de l'émission |
RAISON PASSION
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Titre du segment | Georges Dor et la langue française |
Date de création
| 1996-12-14 |
Durée du segment | 00:22:09 |
Invités | Dor Georges, auteur du pamphlet "Anna braillé ène shot"; Duceppe Jean, lecteur |
Artisans | Bombardier Denise, animatrice; Harvey Marie-Christine, réalisatrice; Viroly Michèle, journaliste, présentatrice |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Georges Dor vient de publier un pamphlet pour la défense de la langue française "Anna braillé ène shot (Elle a beaucoup pleuré)". Il se prononce contre le joual en décrivant la détérioration de la langue parlée et suggère une piste de solutions au niveau de l'enseignement primaire. Brièvement, il dit ne pas regretter avoir laissé le monde du spectacle.
Extraits d'archives: "Les dissidents" en 1968; "Une boîte à chanson" en 1970; "La Manic" en 1970; Jean Duceppe qui lit un poème, "Ce n'est pas quand je dis je t'aime". |
Mots clés | Chanson — Culture — Éducation — Essai — Joual — Langue — Lectures — Littérature — Société |
Identifiant | 1105001 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
82 |
Format |
Télévision
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Titre de l'émission |
QUI ETES-VOUS?
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Titre du segment | Monique Bosco |
Date de création
| 1997-01-13 |
Invités | Monique Bosco, écrivaine |
Artisans | Archambault Gilles, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Autoportrait de Monique Bosco, écrivaine. Originaire de l'Autriche, elle est arrivée au Québec dans la vingtaine, elle a travaillé comme journaliste, enseignante et écrivaine. Celle-ci présente sa conception de l'écriture et explique la tristesse qui se retrouve dans son œuvre. Sa carrière dans l'enseignement est importante dans sa vie pour pallier à la solitude de l'écrivain. Elle a donné durant très longtemps des ateliers de création littéraire. Il est question du malaise qu'elle ressent face aux lecteurs de ses livres. Un des thèmes de son œuvre est l'autorité mâle. Elle élabore brièvement sur le sujet. Quelques-uns de ses poèmes sont présentés et l'écrivaine les commente. Elle n'est pas très affectée par les critiques car elle ne se considère pas vraiment comme un écrivain. Elle vient de recevoir le prix Athanase-David pour l'ensemble de son œuvre. |
Mots clés | Éducation — Littérature — Prix — Roman — Société — Souvenirs |
Remarques sur le document | La bande son n’a pas été conservée dans le document source. |
Identifiant | 1251546 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
83 |
Format |
Télévision
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Titre de l'émission |
ZONE LIBRE
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Titre du segment | La formation des enseignants au Québec |
Date de création
| 1999-08-20 |
Durée du segment | 00:42:18 |
Invités | Étudiantes en formation des maîtres; Boudreau Guy, vice-doyen de la Faculté d'éducation; Gagnon Diane, responsable de la titularisation au Ministère de l'éducation; Nardella Carolyn, enseignante; Nault Thérèse, professeur à la Faculté d'éducation; Hodgson Bernard, professeur à la Faculté des sciences; Momeau Andréanne, stagiaire; Beaudoin Gérard, enseignant; Laforest Mario, doyen de la Faculté d'éducation; Lagacé Marie-Thérèse, guide au Musée Stewart; Blais Jean-François, guide au Musée Stewart; Gagné Gilles, directeur du département de sociologie; Jasmin Bernard, ancien directeur de la Commission scolaire de Chambly; Saint-Pierre Josée, enseignante; Rousseau Pierre, directeur du Théâtre Denise-Pelletier; Julien Louise; Robichaud Suzanne, enseignante; Dagenais Benoît, comédien; Aubert Stéphanie, enseignante; Benoît Marie-France, enseignante; Sauvé Julie, suppléante; Lavoie Jacques, enseignant; Orr Muriel, enseignante; Milard Henriette, enseignante |
Artisans | Lemelin Louise, réalisatrice; Pichette Hélène, journaliste, intervieweuse; Lépine Jean-François, journaliste, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Le Conseil de la langue française accuse les enseignants d'être responsables de la piètre qualité de la langue que parlent les jeunes. On estime que la formation en français des futurs enseignants est déficiente. Plusieurs échouent à l'examen de français et doivent le repasser plusieurs fois. Les résultats à cet examen sont meilleurs dans les autres facultés. Les cours de français à l'université sont montrés du doigt: ils mettent l'accent sur la pédagogie, mais pas sur la maîtrise du français, ni sur la connaissance de la langue ou de la littérature. Dans certains domaines, les enseignants ont à peine plus de formation que les élèves à qui ils enseignent. Que ce soit dans l'enseignement du français ou des mathématiques, l'aspect psychopédagogique a pris le pas sur l'étude de la matière. On apprend de moins en moins un contenu, et de plus en plus une façon de transmettre une connaissance qu'on n'a pas forcément. La gestion de classe prime sur la transmission d'une matière. Les intervenants s'accordent pour reconnaître la nécessité de la formation continue. Mais les enseignants souhaitent voir leur formation reconnue, notamment au niveau salarial. |
Mots clés | Débats — Éducation — Langue — Monde étudiant — Société — Sociologie |
Identifiant | 1159923 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
84 |
Format |
Télévision
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Titre de l'émission |
MAISONNEUVE A L'ÉCOUTE
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Titre du segment | Hommage au père Georges-Henri Lévesque |
Date de création
| 2000-01-17 |
Durée du segment | 00:26:00 |
Invités | Valcour Pierre, réalisateur, ami ; Rocher Guy, sociologue, ami |
Artisans | Maisonneuve Pierre, journaliste, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Pierre Valcour et Guy Rocher tracent un portrait du père Georges-Henri Lévesque et lui rendent hommage. Ils évoquent la fondation de la Faculté des sciences sociales par le père Georges-Henri Lévesque et le fait qu'il ait été parfaire sa formation en France, la formation en science sociale dans les années '30 relevant souvent du type de l'essai au Québec. Pour eux, le père Lévesque était un homme de coeur et de synthèse. Ils racontent quelques souvenirs alors qu'ils suivaient ses cours et soulignent que le père Lévesque a formé plusieurs personnalités du Québec. Ils rappellent que les facultés de sociologie étaient un lieu de contestation et que père Lévesque n'était pas l'ennemi de Maurice Duplessis mais dérangeait grandement le clergé, le gouvernement et la vie universitaire, qu'il était en faveur de la déconfessionnalisation et qu'il a été mêlé à la grève d'Asbestos. Selon eux, dans son quotidien, Georges-Henri Lévesque était un homme très sensible, il se préoccupait énormément des artistes comme l'indique son implication dans la commission Massé. Ils donnent les raisons de son départ pour le Rwanda, où il a ouvert une université. Le père a été grandement affecté par l'incendie qui s'est produit à la maison Montmorency et par le génocide au Rwanda. Ils concluent en disant que le père Lévesque occupe une place importante dans l'histoire du Québec et du Canada. |
Mots clés | Éducation — Histoire — Politique — Religion — Société — Sociologie — Syndicalisme |
Identifiant | 1188193 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
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