1 |
Format |
Télévision
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Titre de l'émission |
SCULLY RENCONTRE
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Titre du segment | Victor-Lévy Beaulieu |
Date de création
| 1992-01-05 |
Durée du segment | 00:32:13 |
Invités | Beaulieu Victor-Lévy, écrivain |
Artisans | Bédard André, journaliste, présentateur ; Scully Robert-Guy, journaliste, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | ENTREVUE AVEC L'ÉCRIVAIN. IL PARLE DE SON MÉTIER, DE SON RAPPORT AU QUÉBEC, À LA POLITIQUE, AU MILIEU ARTISTIQUE, À SES PERSONNAGES ET À SA FAMILLE. Victor-Lévy Beaulieu évoque sa facilité d'écrire, l'ambiance et le climat dans lequel il préfère écrire, sa confiance en la vie, l'influence de sa vie familiale et de son enfance, la situation politique et sociale du Québec et son avenir, son besoin de provoquer, la réaction de sa famille à l'égard de ses écrits et comment il en est venu à écrire des téléromans. |
Mots clés | Culture — Littérature — Politique — Radio-Canada — Roman — Société — Souvenirs |
Identifiant | 977820 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
2 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
HEBDO RADIO
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Date de création
| 1992-03-21 |
Invités | Beaulieu Victor-Léy, écrivain |
Artisans | Bouchard Céline-Marie, animatrice ; Lantagne Lisette, réalisatrice ; Charette Christiane |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | À la veille de la télédiffusion le 22 mars 1992 de sa dramatique «Hamlet en Québec» aux BEAUX DIMANCHES de Radio-Canada, Victor-Lévy Beaulieu, précédé d’un extrait de cette réalisation de Guy Sénécal, aborde l’inspiration de cette oeuvre audacieuse : sa lutte contre la poliomyélite à l’âge de 18 ans. Avant de clore cette rencontre l’écrivain commente ses personnages principaux de Langis, artiste de la scène souhaitant jouer le rôle de Hamlet, et Beauté Féroce, incarnation d’Ophélie dans le personnage d'une effeuilleuse, respectivement interprétés par Guy Nadon et Maude Guérin. Entrevue réalisée le 18 mars 1992 dans le cadre de l’émission EN DIRECT. |
Mots clés | Littérature — Médias — Radio-Canada — Souvenirs — Théâtre |
Identifiant | 105360009 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
3 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
ÉMISSION SPÉCIALE
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Titre du segment | La vie de Paul Berval |
Titre de l'épisode | Je m'appelle Paul Berval |
Date de création
| 1994-07-20 |
Durée du segment | 00:50:00 |
Invités | Berval Paul, comédien ; Coutu Jean, comédien |
Artisans | Houde Jacques, animateur ; Morency Anne, journaliste, présentatrice ; Roy André, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Durant tout l'été, en compagnie de Jacques Houde, Paul Berval se raconte. L'émission d'aujourd'hui accueille le comédien Jean Coutu. Celui-ci raconte d'abord un peu sa jeunesse, sa relation avec sa mère, ses études aux Beaux-Arts dans les années 1940 et ses dix années chez "Les Compagnons de Saint-Laurent". Lorsqu'il aura 18 ans, il auditionnera pour l'émission "Radio-Carabins", à Radio-Canada, qu'il animera pendant neuf ans. À 00:16:56 une présentatrice parle de la pièce "Federigo" que "Les Compagnons du Saint-Laurent" jouent et du succès qu'elle remporte. Paul Berval et Jean Coutu se sont déjà rencontrés à l'émission "Radio-Carabins" et ils ont fait du théâtre ensemble. Le souvenir le plus vif qu'ils partagent est la pièce «Le Diable s'en mêle» qu'ils ont joué à Baie-Saint-Paul. Ils parlent de Pierre Dagenais qui en fut le metteur en scène. Jean Coutu affirme que Paul Berval l'a toujours fait rire. Paul Berval mentionne qu'il a aimé l'époque dans laquelle il a vécu car tout se développait au niveau artistique. Jean Coutu souligne le répertoire intéressant des Compagnons de Saint-Laurent. Cette troupe faisait des tournées dans plusieurs villages du Québec et présentait des pièces de Racine à des fermiers. Ceux-ci venaient en grand nombre voir ce théâtre. Les comédiens avaient ensuite le privilège de coucher chez les habitants de la région. |
Mots clés | Groupes et réseaux — Littérature — Radio-Canada — Souvenirs — Théâtre |
Identifiant | 1454244 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
4 |
Format |
Radio
|
Titre de l'émission |
ÉMISSION SPÉCIALE
|
Titre du segment | La vie de Paul Berval |
Titre de l'épisode | Je m'appelle Paul Berval |
Date de création
| 1994-07-25 |
Durée du segment | 00:50:00 |
Invités | Berval Paul, comédien ; Roux Jean-Louis, comédien |
Artisans | Houde Jacques, animateur ; Morency Anne, journaliste, présentatrice ; Roy André, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Durant tout l'été, en compagnie de Jacques Houde, Paul Berval se raconte. L'émission d'aujourd'hui accueille le comédien Jean-Louis Roux et porte sur la télévision. La soirée inaugurale de la télévision canadienne où le Premier ministre du Canada, Louis Saint-Laurent, était présent, est largement commentée. On décrit le programme, variété, ballet et une émission dramatique. Jean-Louis Roux participait à cette soirée dans l'émission dramatique et Paul Berval jouait dans l'émission de variété. Ils racontent quelques anecdotes. À 00:05:53 une présentatrice explique que la télévision française a commencé avec le poste CBFT. La télévision anglaise débuta 2 jours plus tard avec le poste BBLT Toronto. Lors de la soirée d'ouverture de la télévision canadienne, qui a lieu le 6 septembre 1952, le tout Montréal est présent. À 00:07:39 une présentatrice cite le président du Bureau des gouverneurs de Radio-Canada, monsieur Davidson Dunton, qui parle de la programmation de Radio-Canada. À 00:09:09 elle cite les critiques de cette soirée inaugurale dans les journaux. Jean-Louis Roux parle de la ferveur qu'il y avait à cette époque. Les gens avaient un respect pour le travail des autres. Il jouait dans l'émission «Les Plouffe» que tout le Québec regardait. À 00:27:29 une présentatrice reparle du 6 septembre 1952. Elle mentionne que les 16 999 Montréalais propriétaires d'un téléviseur ont dû regarder la transmission de cette fête. Elle nomme également les émissions pour les enfants, pour les femmes et les émissions sportives qui font partie de la programmation de Radio-Canada. Ainsi la première partie de hockey est télédiffusée le 11 octobre 1952 entre les Canadiens et les Reds Wings. Il y a peu d'émissions d'informations dans les débuts de Radio-Canada. Une heure par semaine, moitié français et moitié anglais. C'est en 1953 qu'on ajoute à l'horaire un journal télévisé animé par Michelle Tisseyre. Le 21 juin 1953, le couronnement de la reine Elisabeth II est vu en différé puisque les bobines sont amenées de Londres par avion. Jean-Louis Roux et Paul Berval affirment que la télévision a eu un impact négatif presque immédiat sur le cinéma, les théâtres et les spectacles. |
Mots clés | Culture — Littérature — Médias — Radio-Canada — Souvenirs — Théâtre |
Identifiant | 1454275 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
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