61 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
LE MONDE AUJOURD'HUI
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Titre du segment | Décès de Camille Laurin |
Date de création
| 1999-03-11 |
Durée du segment | 00:07:10 |
Invités | Rocher Guy, sociologue, proche de Camille Laurin |
Artisans | Lacombe Michel, journaliste, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Décès de Camille Laurin, le père de la loi 101 et l'un des penseurs les plus éminents du Parti québécois. Son action politique se caractérisait par un grand respect de tous les acteurs de la société québécoise et une réelle efficacité politique. On rend hommage à sa grande stature intellectuelle. |
Mots clés | Décès — Langue — Politique — Société — Sociologie |
Identifiant | 1149820 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
62 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
INDICATIF PRÉSENT
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Titre du segment | La culture au Québec à l'aube du XXIe siècle |
Date de création
| 1999-04-21 |
Durée du segment | 00:18:20 |
Invités | Major André, directeur littéraire; Robin Régine, sociologue, auteure, professeure de sociologie à l'Université du Québec à Montréal; Dupuis-Déri Francis, journaliste, essayiste |
Artisans | Bazzo Marie-France, animatrice; Leblanc Danielle, réalisatrice |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | André Major, Régine Robin et Francis Dupuis-Déri expriment leur perception respective de la culture au Québec que l'on retrouve dans le livre "Frénétiques" d'Yvon Montoya et Pierre Thibault. Ils expliquent les impacts de l'identité nationale sur la définition de la culture. Ils s'interrogent au sujet l'avenir de la culture en tenant compte de sa pluralité et de son épanouissement actuel. Ils dénoncent la contradiction entre le discours officiel et la diminution des sources d'accès à la culture dont l'enseignement du français. |
Mots clés | Culture — Éducation — Essai — Littérature — Société — Sociologie — Vient de paraître |
Identifiant | 466 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
63 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
PAYSAGES LITTÉRAIRES
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Titre du segment | Émile Ollivier, sociologue et romancier |
Date de création
| 1999-06-27 |
Durée du segment | 01:28:00 |
Invités | Ollivier Émile, écrivain d'origine haïtienne |
Artisans | Lépine Stéphane, animateur, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Entrevue avec l'écrivain haïtien Émile Ollivier. Émile Ollivier est né à Port-au-Prince en 1940. Il arrive à Montréal en 1968. En 1991, on lui décerne le Grand Prix littéraire de la Ville de Montréal pour son roman "Passages". Intellectuel reconnu, sociologue, il est depuis professeur à la Faculté des sciences d'éducation de l'Université de Montréal. L'écrivain parle de ses récits d'enfance "Mille Eaux" (1999), souvenirs d'une enfance troublée auprès d'une mère au nom prédestiné, Madeleine Souffrant et d'un père très tôt disparu. L'influence des écrivains latinos-américains. L'importance des personnages dans son oeuvre, la dimension sociologique, l'intime et le collectif. La résistance par l'institution littéraire parisienne à l'apport des auteurs des anciennes colonies. L'aspect libérateur de l'écriture du livre "Mille Eaux". |
Mots clés | Littérature — Prix — Roman — Société — Sociologie — Souvenirs |
Identifiant | 1269451 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
64 |
Format |
Télévision
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Titre de l'émission |
ZONE LIBRE
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Titre du segment | La formation des enseignants au Québec |
Date de création
| 1999-08-20 |
Durée du segment | 00:42:18 |
Invités | Étudiantes en formation des maîtres; Boudreau Guy, vice-doyen de la Faculté d'éducation; Gagnon Diane, responsable de la titularisation au Ministère de l'éducation; Nardella Carolyn, enseignante; Nault Thérèse, professeur à la Faculté d'éducation; Hodgson Bernard, professeur à la Faculté des sciences; Momeau Andréanne, stagiaire; Beaudoin Gérard, enseignant; Laforest Mario, doyen de la Faculté d'éducation; Lagacé Marie-Thérèse, guide au Musée Stewart; Blais Jean-François, guide au Musée Stewart; Gagné Gilles, directeur du département de sociologie; Jasmin Bernard, ancien directeur de la Commission scolaire de Chambly; Saint-Pierre Josée, enseignante; Rousseau Pierre, directeur du Théâtre Denise-Pelletier; Julien Louise; Robichaud Suzanne, enseignante; Dagenais Benoît, comédien; Aubert Stéphanie, enseignante; Benoît Marie-France, enseignante; Sauvé Julie, suppléante; Lavoie Jacques, enseignant; Orr Muriel, enseignante; Milard Henriette, enseignante |
Artisans | Lemelin Louise, réalisatrice; Pichette Hélène, journaliste, intervieweuse; Lépine Jean-François, journaliste, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Le Conseil de la langue française accuse les enseignants d'être responsables de la piètre qualité de la langue que parlent les jeunes. On estime que la formation en français des futurs enseignants est déficiente. Plusieurs échouent à l'examen de français et doivent le repasser plusieurs fois. Les résultats à cet examen sont meilleurs dans les autres facultés. Les cours de français à l'université sont montrés du doigt: ils mettent l'accent sur la pédagogie, mais pas sur la maîtrise du français, ni sur la connaissance de la langue ou de la littérature. Dans certains domaines, les enseignants ont à peine plus de formation que les élèves à qui ils enseignent. Que ce soit dans l'enseignement du français ou des mathématiques, l'aspect psychopédagogique a pris le pas sur l'étude de la matière. On apprend de moins en moins un contenu, et de plus en plus une façon de transmettre une connaissance qu'on n'a pas forcément. La gestion de classe prime sur la transmission d'une matière. Les intervenants s'accordent pour reconnaître la nécessité de la formation continue. Mais les enseignants souhaitent voir leur formation reconnue, notamment au niveau salarial. |
Mots clés | Débats — Éducation — Langue — Monde étudiant — Société — Sociologie |
Identifiant | 1159923 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
65 |
Format |
Télévision
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Titre de l'émission |
LES IDÉES LUMIÈRE
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Titre du segment | Guy Rocher |
Date de création
| 1999-09-26 |
Durée du segment | 00:28:50 |
Invités | Rocher Guy, sociologue, professeur à l'Université de Montréal |
Artisans | Bombardier Denise, journaliste, intervieweuse; Bourgeault Paul, réalisateur; Productions Noir Sur Blanc, producteur extérieur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Guy Rocher s'interroge sur le rôle des intellectuels et s'attarde à la place qu'ils occupent dans la société au Québec. Les raisons pour lesquelles certains intellectuels s'expriment peu sur la scène publique, entre autres l'absence de l'idéologie de gauche dans les courants de pensée actuels. Il s'inquiète de voir la société évoluer vers un nivellement des classes et regrette la stérilité des débats sur l'identité québécoise. Il entrevoit dans la jeune génération de penseurs un changement de mentalités, l'émergence de nouvelles idées et un retour aux grands socialistes du 19e siècle. |
Mots clés | Gauche politique — Histoire — Politique — Société — Sociologie |
Identifiant | 744336 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
66 |
Format |
Télévision
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Titre de l'émission |
MAISONNEUVE A L'ÉCOUTE
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Titre du segment | Hommage au père Georges-Henri Lévesque |
Date de création
| 2000-01-17 |
Durée du segment | 00:26:00 |
Invités | Valcour Pierre, réalisateur, ami ; Rocher Guy, sociologue, ami |
Artisans | Maisonneuve Pierre, journaliste, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Pierre Valcour et Guy Rocher tracent un portrait du père Georges-Henri Lévesque et lui rendent hommage. Ils évoquent la fondation de la Faculté des sciences sociales par le père Georges-Henri Lévesque et le fait qu'il ait été parfaire sa formation en France, la formation en science sociale dans les années '30 relevant souvent du type de l'essai au Québec. Pour eux, le père Lévesque était un homme de coeur et de synthèse. Ils racontent quelques souvenirs alors qu'ils suivaient ses cours et soulignent que le père Lévesque a formé plusieurs personnalités du Québec. Ils rappellent que les facultés de sociologie étaient un lieu de contestation et que père Lévesque n'était pas l'ennemi de Maurice Duplessis mais dérangeait grandement le clergé, le gouvernement et la vie universitaire, qu'il était en faveur de la déconfessionnalisation et qu'il a été mêlé à la grève d'Asbestos. Selon eux, dans son quotidien, Georges-Henri Lévesque était un homme très sensible, il se préoccupait énormément des artistes comme l'indique son implication dans la commission Massé. Ils donnent les raisons de son départ pour le Rwanda, où il a ouvert une université. Le père a été grandement affecté par l'incendie qui s'est produit à la maison Montmorency et par le génocide au Rwanda. Ils concluent en disant que le père Lévesque occupe une place importante dans l'histoire du Québec et du Canada. |
Mots clés | Éducation — Histoire — Politique — Religion — Société — Sociologie — Syndicalisme |
Identifiant | 1188193 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
67 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
DES IDÉES PLEIN LA TÊTE
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Titre du segment | La culture lettrée ou humaniste |
Titre de l'épisode | Qu'est-ce que la culture? |
Date de création
| 2000-11-12 |
Durée du segment | 00:56:36 |
Invités | Ponge Francis, auteur, narrateur ; Leroux Georges, philosophe ; Simonis Yvan, ethnologue, anthropologue ; Bouchard Gérard, sociologue, historien ; Rivard Yvon, auteur ; Élie Bernard, économiste ; Major André, auteur ; Bernier Léon, sociologue ; Morin Edgar, philosophe ; Mascotto Jacques, sociologue |
Artisans | Denis Jean-Pierre, réalisateur ; Derome Bernard, présentateur ; Gagnon Jean, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Un documentaire de Jean-Pierre Denis sur le sort de la culture lettrée. Dans ce premier volet de son exploration, il a rencontré l'auteur Georges Leroux, l'anthropologue Yvan Simonis, l'historien Gérard Bouchard, l'essayiste Yvon Rivard, l'économiste Bernard Élie, l'écrivain André Major, le sociologue Léon Bernier, le philosophe Edgar Morin ainsi que Jacques Moskoto. Dans un premier temps il fait entendre les différentes définitions existantes sur la culture. Ensuite, Gérard Bouchard et Léon Bernier témoignent de leur expérience dans les collèges classiques. Ils évoquent les forces et les faiblesses de cet enseignement ainsi que l'héritage qu'ils en ont gardé. Ils situent la formation classique par rapport à la situation actuelle. Yvan Simonis fait ressortir l'importance du langage dans la compréhension d'une société d'un point de vue anthropologique. Il situe le latin et le grec dans ce contexte. Georges Leroux donne sa définition de la culture lettrée et la situe par rapport à la culture populaire. Edgar Morin fait état de la réflexion sur la condition humaine favorisée par la culture. Yvon Rivard parle des préalables requis pour la création d'un moment de culture. Jacques Maskoto décrit le passage du non-humain à l'humanité. |
Mots clés | Culture — Éducation — Langue — Philosophie — Société — Sociologie |
Remarques sur le document | Cette émission a été rediffusée le 2001-06-18 dans le cadre de l'émission "Qu'est-ce que la culture ?".
Cette émission a été rediffusée le 2004-03-30. |
Identifiant | 1252612 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
68 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
PASSAGES
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Date de création
| 2000-11-15 |
Durée du segment | 01:00:45 |
Invités | Vadeboncoeur Pierre, auteur; Vigneault Robert, auteur; Melançon Robert, auteur |
Artisans | Ismert François, réalisateur; Larose Jean, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Enregistrée à la librairie Olivieri à Montréal, table ronde avec Robert Vigneault et Robert Melançon qui discutent avec l'auteur Pierre Vadeboncoeur de son essai "L'humanité improvisée". Dans cet essai, Vadeboncoeur poursuit son oeuvre de moraliste et de critique averti de notre civilisation. Son ouvrage a pour thème principal les effets du postmodernisme sur la conscience morale et politique contemporaine. Le point de vue que Vadeboncoeur adopte sur le sujet n'est toutefois pas celui du sociologue, mais bien celui, plus personnel, du moraliste. L'auteur concède même que le postmodernisme qu'il entrevoit n'est peut-être qu'un fantôme de son imagination, qui cristalliserait tout ce qu'il rejette dans la civilisation présente. Il y voit la dernière forme d'un nihilisme dont la marque distinctive serait de faire sombrer dans l'insignifiance toute tentative de dépassement de l'opinion vers la vérité. En acceptant tout, en nivelant tout, le postmodernisme abandonne le terrain de la recherche de la vérité pour épouser celui de la glorification des fictions. Il est donc par essence "antiphilosophique". Pierre Vadebonceur traite de l'influence de l'auteur Gaston Miron sur ses réflexions de société et parle de sa soif d'absolu. |
Mots clés | Culture — Débats — Essai — Littérature — Poésie — Société — Sociologie — Vient de paraître |
Identifiant | 1253938 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
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