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Format |
Radio
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Titre de l'émission |
QUI ETES-VOUS?
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Titre du segment | Guy Rocher (1 de 4) |
Date de création
| 1996-02-05 |
Invités | Rocher Guy, sociologue, professeur, chercheur |
Artisans | Major André, réalisateur; Rochette Guy, journaliste, intervieweur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Guy Rocher : l'ambivalence entre ses compétences de chercheur et celles d'homme action; son enfance à Berthierville puis dans la région de Montréal; le décès prématuré de son père lorsqu'il avait 8 ans; son statut d'orphelin à l'origine de son désir de comprendre le noyau de la famille complète à la base de l'observation sociologique; ce contexte à la base de sa compréhension de l'existence des liens sociaux; ses études classiques poursuivies au collège l'Assomption; son expérience du scoutisme et du mouvement d'action catholique; l'importance de la littérature romanesque et de l'imaginaire dans sa vie et dans son développement; la pensée nationaliste qui a empreint sa formation classique; son implication sociale dans le renouveau chrétien de la JEC au moment de l'interruption de ses études en droit; son initiation à la philosophie contemporaine et la réflexion sur la démocratie qu'elle a suscité ; la formation en sciences sociales qu'il a poursuivi à l'Université Laval. |
Mots clés | Éducation — Littérature — Nationalisme — Politique — Religion — Roman — Société — Sociologie — Souvenirs |
Identifiant | 734322 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
2 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
QUI ETES-VOUS?
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Titre du segment | Yvon Rivard, romancier (3 de 3) |
Date de création
| 1996-03-13 |
Durée du segment | 00:29:22 |
Invités | Rivard Yvon, écrivain |
Artisans | Bougé Réjane, animatrice; Major André, réalisateur, coordonnateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | (3 de 3) Autoportrait d'Yvon Rivard, romancier. Sa carrière de professeur de création littéraire à l'Université McGill. Son approche en tant que professeur. Sa conviction que le métier d'écrivain est quelque chose qui s'apprend. L'évolution de sa vision de l'écriture. Évocation de quelques-uns de ses principes fondamentaux en écriture. Son dernier livre, "Le Milieu du jour", où se retrouvent certains personnages de son troisième livre,"Les Silences du corbeau". Comparaison entre les deux livres. Il songe à une suite pour compléter la trilogie. |
Mots clés | Éducation — Littérature — Roman — Société — Souvenirs |
Remarques sur le document | Cette émission a été rediffusée le 1997-02-19. |
Identifiant | 1628939 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
3 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
MES PLUS BEAUX SOUVENIRS
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Titre de l'épisode | Un entretien de Victor-Lévy Beaulieu et Roger Fournier (3 de 5) |
Date de création
| 1996-07-10 |
Invités | Fournier Roger, écrivain, réalisateur; Savard Félix-Antoine, écrivain |
Artisans | Amyot Louis, animateur; Beaulieu Victor-Lévy, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | L'auteur Victor-Lévy Beaulieu s'entretient avec l'écrivain et réalisateur Roger Fournier qui relate les grands moments de sa vie et de sa carrière. Il parle de ses études à l'Université Laval et décrit sa rencontre avec Félix-Antoine Savard. Il évoque ses débuts comme réalisateur à Radio-Canada en 1955, raconte son séjour à Paris de 1957 à 1959 et résume ses nombreux voyages. Il parle de ses livres "Inutile et adorable" et "Les filles à Mounne" publiés en 1963 et 1966. |
Mots clés | Culture — Littérature — Radio-Canada — Roman — Société |
Remarques sur le document | Émission diffusée en direct du site des fêtes des 300 ans de Rimouski. |
Identifiant | 140002084001 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
4 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
JURE, CRACHE!
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Titre du segment | Monique Proulx, écrivaine |
Date(s) de création
| 1996-07-18 1997-08-04 |
Durée du segment | 00:49:58 |
Invités | Proulx Monique, écrivaine |
Artisans | Dubois Louis-Yves, réalisateur; McQuade Winston, animateur; |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | L'écrivain Monique Proulx se raconte. Elle évoque son enfance à la campagne à Duchesnay, son tempérament solitaire dès son plus jeune âge, les films de famille, les jeux avec son frère, les histoires qu'elle s'inventait, ses séjours en camps de vacances. L'entrevue est entrecoupée de musique de son choix; on fera entendre Johnny Cash, Sacha Distel, Petula Clark, Jean-Pierre Ferland et Richard Anthony. |
Mots clés | Culture — Femmes — Littérature — Roman — Société — Souvenirs |
Identifiant | 1458484 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
5 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
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Titre du segment | On n'a rien inventé (1 de 10) |
Date de création
| 1997-08-04 |
Durée du segment | 00:58:13 |
Invités | Roy Gabrielle, auteur; Gélinas Gratien, comédien, dramaturge; Lemelin Roger, auteur |
Artisans | Morency Anne, animatrice, journaliste, présentatrice; Roy André, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Qui étions-nous il y a 50 ans? Avons-nous bien changé depuis les années 40? Anne Morency décrit la société québécoise de 1940. Dominée par le premier ministre québécois Maurice Duplessis, cette société connaît une croissance démographique et de meilleures conditions de vie. La production nationale croît de façon importante après la guerre et les gens ont soif de modernisation. On commence à remettre en question deux institutions importantes, l'église et l'éducation. Enfin, de plus en plus de Québécois quittent la campagne pour la ville. Les écrivains et les artistes vont traduire ces nouvelles aspirations dans leurs œuvres. La littérature québécoise de la fin de années 1940 se distingue par deux types de romans: celui qui traite des problèmes sociaux des villes et le roman psychologique, où le héros est toujours un déséquilibré nerveux. Roger Lemelin, répondant à un auditeur qui se plaint qu'il n'y ait pas d'autres genres littéraires, est d'accord avec lui et croit qu'il est temps de passer à autre chose. Pour lui, un bon roman est une belle histoire que l'on raconte, qui projette notre monde intérieur et qui traduit en mots le vécu de l'époque présente. Dans une entrevue, Gratien Gélinas décrit le personnage de Fridolin qui représente le Canadien-Français, dans sa simplicité et sa lucidité. Des extraits de l'émission "Sondage" des années 1946, nous font entendre des gens de plusieurs endroits au Québec. On comprend leur vécu, leurs préoccupations et le rôle de la radio dans leur vie. L'émission se termine sur une allocution de Gabrielle Roy en 1947, qui parle du quartier de Saint-Henri et de la vie des ouvriers. Elle constate que Saint-Henri est aussi pauvre que lorsqu'elle a écrit son roman "Bonheur d'occasion". |
Mots clés | Culture — Discours — Histoire — Littérature — Médias — Roman — Société |
Identifiant | 1257317 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
6 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
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Titre du segment | Marie-Claire Blais: parcours d'un écrivain (2 de 10) |
Date de création
| 1997-12-02 |
Durée du segment | 00:29:30 |
Invités | Blais Marie-Claire, auteur; Bouchard Danielle, comédienne, lectrice |
Artisans | Durand Monique, réalisatrice; Vigeant André, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Marie-Claire Blais raconte les premiers métiers qu'elle a fait dès l'âge de 15 ans: magasin, usine, secrétariat. Les conditions de travail des ouvriers la révoltent et il lui arrive parfois d'en parler à ses supérieurs. Il en résulte souvent qu'elle perd sa place. Elle sait déjà qu'elle est une artiste. Elle écrit lors de ses pauses. Elle tentera plus tard, dans ses livres, de faire connaître cette misère. Marie-Claire Blais dit qu'on n'oublie jamais l'humiliation et la tristesse de travailler dans de tels milieux de travail. Elle loue avec des amis une chambre à Québec pour pouvoir écrire. Pour elle, l'écriture exige beaucoup de solitude. Elle rencontre d'autres artistes et ils se tiennent dans des cafés. Elle quitte Québec à l'âge de 17 ans pour venir à Montréal qu'elle juge moins oppressif et plus stimulant. Elle travaille au Palais de justice de Montréal et publie ses premiers livres. Elle reçoit une bourse du Conseil des Arts et elle peut se permettre de vivre mieux. Elle évoque la parution de son premier livre "La belle bête" qui est paru dans un contexte de conflit. La critique fut dure avec elle. Elle était une jeune écrivaine révoltée, ce qui n'était pas bien vu. Puis, le père Lévesque et Jeanne Lapointe l'aideront à mieux structurer sa pensée dans son processus d'écriture. De la musique sur disques complète l'émission. |
Mots clés | Littérature — Roman — Société — Souvenirs |
Identifiant | 1259766 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
7 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
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Titre du segment | Les carnets d'André Major (1 de 8) |
Date de création
| 1997-12-15 |
Durée du segment | 00:57:48 |
Invités | Major André, réalisateur, écrivain |
Artisans | Lépine Stéphane, réalisateur, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Pour souligner l'apport exceptionnel d'André Major, réalisateur à Radio-Canada depuis près de 30 ans (à la Chaîne culturelle FM de Radio-Canada), Stéphane Lépine propose une série de huit carnets et dialogues avec le lecteur, l'écrivain et le réalisateur André Major.
Premier carnet: L'esprit des lieux (1942-1960) : André Major parle de son enfance dans Rosemont, à Montréal, dans un quartier pauvre et rude. Il est enfant de choeur le matin et le soir, obligé d'appartenir à un petit gang de rue, il doit faire de petits vols. Dès son plus jeune âge, il va également chez son grand-père dans les Basses-Laurentides. Il raconte l'importance de ces lieux et de la forêt pour lui. Il relate sa découverte de la bibliothèque municipale et de l'importance des livres dans sa vie. L'imaginaire lui permettra de s'évader par la pensée de ce quartier triste. Il parle de ses études dans les collèges chez les Frères et de sa relation avec son grand-père. Lorsqu'il se met à acheter des livres de la collection "Livres de poche", son univers change car il lit André Malraux, Gilbert Cesbron, Kafka. Il devient un peu socialiste et légèrement anticlérical. Il sera expulsé du collège et fera quelques métiers avant d'être publié. Plusieur auteurs le marqueront mais c'est Gabrielle Roy avec "Bonheur d'occasion" qui lui permettra d'écrire son premier vrai roman. Émission ponctuée de pièces musicales. |
Mots clés | Littérature — Littérature étrangère — Littérature française — Montréal — Roman — Société — Souvenirs |
Remarques sur le document | Cette émission a été rediffusée le 1998-07-19 dans le cadre de l'émission "Séries diverses". |
Identifiant | 1260085 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
8 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
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Titre du segment | Les carnets d'André Major (6 de 8) |
Date de création
| 1997-12-22 |
Durée du segment | 01:03:00 |
Invités | Major André, réalisateur, écrivain |
Artisans | Lépine Stéphane, réalisateur, animateur; Major André, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Pour souligner l'apport exceptionnel d'André Major, réalisateur à Radio-Canada depuis près de 30 ans (à la Chaîne culturelle FM de Radio-Canada), Stéphane Lépine propose une série de huit carnets et dialogues avec le lecteur, l'écrivain et le réalisateur André Major.
Sixième carnet: Parler au singulier ou le non-alignement.
André Major parle de l'imposture que représente l'écriture au "nous". L'écrivain est solitaire et c'est dans cette solitude qu'il est solidaire. Toute connivence entre l'écrivain et sa société repose sur un malentendu. L'écrivain doit maintenir une distance entre la société et lui. C'est dans cet écart que réside sa liberté. Rien ne doit faire écran entre la réalité et lui. L'écrivain doit aussi refuser les compromis dans son écriture, car ils affaiblissent une œuvre. Dans cette réflexion sur l'œuvre, André Major situe Thomas Bernhard comme faisant partie des exceptions. Il le caractérise comme quelqu'un allant au-devant des coups, les provoquant et prenant tous les risques. Il qualifie son travail comme une œuvre d'art. Major décrit l'écrivain et l'intellectuel dans la société comme des anomalies. Ils dérogent aux lignes de conduites et aux lieux communs. En ce sens, l'artiste est pour lui une faute de goût. Il est, à l'intérieur du lieu commun, une voix singulière. Et c'est ce qui explique qu'il lui soit si difficile d'écrire à la première personne du pluriel, au "nous". Major évoque également la condition menacée de la province de Québec dans sa position nord-américaine qui provoque des conditions de vie particulières autant pour les citoyens que pour les artistes. Pour ces derniers, il devient très difficile de critiquer la société puisque ce faisant, ils se rangent alors du côté des dénigreurs de cette même société. La rupture nécessaire de l'écrivain est très ardue. Selon lui, la seule façon de s'engager sans devenir un dogmatique ou un "aligné" est de parler en son nom propre. L'exemple de Tchekhov comme modèle d'écrivain dans sa société est donné. André Major enchaîne ensuite en parlant du problème linguistique au Québec qu'il lie à l'infantilisme profond de la société québécoise. La polarisation uniquement vers le côté maternel crée un déséquilibre au sein de la société et Major se dit en faveur d'un retour de l'équilibre entre les deux pôles, maternel et paternel. En évacuant la figure d'autorité du père, la transgression et la délinquance linguistique et littéraire sont impossibles. Une maturation semble nécessaire. |
Mots clés | Considérations littéraires — Langue — Littérature — Littérature étrangère — Roman — Société — Souvenirs |
Remarques sur le document | Cette émission a été rediffusée le 1998-08-30 dans le cadre de l'émission "Séries diverses". |
Identifiant | 1798666 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
9 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
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Titre du segment | Conversations parisiennes : Anne Hébert et Madeleine Gagnon (3 de 4) |
Date de création
| 1997-12-30 |
Durée du segment | 00:26:48 |
Invités | Gagnon Madeleine, auteur; Hébert Anne, auteur |
Artisans | Dumais Doris, réalisatrice; Durand Monique, intervieweuse; Vigeant André, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | En février 1995, deux auteures, deux poètes, deux parcours, deux générations et deux imaginaires, Madeleine Gagnon et Anne Hébert se sont rencontrées dans l'appartement parisien de cette dernière. Dans ce troisième volet, les deux femmes parlent de leurs années d'études. Ce furent des années difficiles pour elles. Anne Hébert déménageait souvent, changeait d'école et a terminé ses études après sa neuvième année pour raison de santé. Madeleine Gagnon qui vient de la Matapédia se frappe au snobisme des jeunes filles de la haute-ville chez les Ursulines de Québec. Elle finira son cours à Notre-Dame-d'Acadie à Moncton. Les deux femmes évoquent leurs motivations d'écrire. Anne Hébert parle de ses premières publications et de la réaction des éditeurs de l'époque. Anne Hébert et Madeleine Gagnon évoquent ensuite leur désir de quitter le Québec et d'aller en France voir le pays de leur culture. Pour elles, l'éloignement leur a permis d'écrire, de s'approprier des lieux, de se nourrir pour mieux écrire. Elles abordent finalement l'acte de l'écriture. Il est difficile pour Anne Hébert lorsqu'il s'agit d'un roman. Madeleine Gagnon explique qu'elle anticipe le plaisir qui naîtra bientôt lorsque l'histoire prendra forme. De la musique sur disques complète l'émission. |
Mots clés | Éducation — Femmes — Littérature — Livre et édition — Paris — Poésie — Roman — Société — Souvenirs |
Remarques sur le document | Cette émission a été rediffusée le 2000-03-16 dans le cadre de l'émission "Entretiens et confidences". |
Identifiant | 1260211 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
10 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
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Titre du segment | Écrivains du Canada anglais (1 de 10): Mavis Gallant |
Date de création
| 1998-06-01 |
Durée du segment | 00:29:35 |
Invités | Poliquin Daniel, écrivain, traducteur; Gallant Mavis, auteur qui vit à Paris depuis quarante ans; Bouchard Danielle, lectrice |
Artisans | Durand Monique, réalisateur, intervieweuse; Vigeant André, réalisateur, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Première de deux entrevues réalisées avec Mavis Gallant (1922-...), écrivaine canadienne anglaise. Monique Durand l'a rencontrée à Paris où elle vit depuis quarante ans. Mavis Gallant raconte son parcours de vie et d'écrivaine, son enfance à Montréal, son départ vers l'Europe en 1950, ses chemins d'écriture. Elle parle entre autres de la vie après la mort de son père et de son départ qui a suivi pour l'Ontario, de son emploi de journaliste à Montréal au début de sa carrière au temps de la seconde guerre mondiale, de son départ vers l'Europe en 1950 et de sa rencontre avec l'écrivaine Anne Hébert. Daniel Poliquin parle très brièvement de l'oeuvre de Mavis Gallant. Lecture d'extraits de son recueil de nouvelles, Voix perdues dans la neige. De la musique sur disques complète l'émission. |
Mots clés | Littérature — Littérature anglo-canadienne — Littérature franco-canadienne — Ontario — Paris — Roman — Société — Souvenirs |
Identifiant | 1264808 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
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