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Format |
Radio
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Titre de l'émission |
SAMEDI ON SE PARLE
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Type d'émission | Entrevue |
Titre du segment | Pierre Elliott Trudeau, homme d'action |
Date de création
| 2000-09-30 |
Durée du segment | 00:53:30 |
Invités | Dufour Christian, professeur, auteur ; Taylor Charles, philosophe, professeur de philosophie |
Artisans | Lacombe Michel, journaliste, animateur, interviewer ; Ricard Jean-Pierre, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Pierre Elliott Trudeau aura beaucoup changé le Canada par son action politique, on retiendra donc de lui plus son côté homme d'action que son côté intellectuel. Qu'aura-t-il changé et que nous laisse-t-il ? Sommes-nous entrés dans l'après Trudeau ou vivons-nous encore la même époque ? Est-ce que sa façon de voir le Canada est définitive? Christian Dufour, professeur et auteur, et Charles Taylor, professeur et philosophe, tracent un portrait de l'homme qui fut premier ministre du Canada ; 00:29:00 Des auditeurs expriment leur opinion sur le sujet du jour. |
Mots clés | Histoire — Indépendantisme — Politique — Société |
Identifiant | 1243560 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
2 |
Format |
Télévision
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Titre de l'émission |
MAISONNEUVE A L'ÉCOUTE
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Titre du segment | La Crise d'octobre |
Date de création
| 2000-10-10 |
Durée du segment | 00:50:24 |
Invités | Tetley William, politicologue, ancien ministre du gouvernement Bourassa ; Ryan Claude, journaliste, ancien directeur du journal "Le Devoir" ; Lalonde Marc, politicologue, ancien chef de cabinet de Pierre Elliott Trudeau ; Lemieux Robert, ancien avocat des felquistes |
Artisans | Maisonneuve Pierre, journaliste, animateur ; Mathon Gérald, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Dès le début de la Crise d'octobre, deux thèses étaient soulevées: négocier ou ne pas négocier avec le FLQ. Marc Lalonde et Pierre Elliott Trudeau favorisaient la ligne dure, alors que Claude Ryan et René Lévesque favorisaient la négociation. Les invités élaborent sur cette possibilité de négocier ou non et justifient leur position respective. Marc Lalonde indique que céder au chantage n'arrête pas le terrorisme alors que Claude Ryan rappelle que la crise s'est tout de même terminée par une négociation alors qu'on a envoyé des gens en exil. Robert Lemieux rappelle que deux personnes avaient été enlevées, soit Pierre Laporte et James Cross, et qu'il y avait eu des négociations. Puis, ce fut l'arrêt des négociations alors qu'on ne voulait pas laisser partir quelques personnes en exil. Après 30 ans, Marc Lalonde et Claude Ryan sont convaincus que leurs positions à l'époque étaient les bonnes malgré qu'elles étaient diamétralement opposées. Claude Ryan affirme que le gouvernement Bourassa donnait l'impression d'un gouvernement faible à l'époque. Marc Lalonde considère comme irrersponsable la pétition signée par 16 des plus influents leaders intellectuels du Québec à l'époque, de Claude Ryan aux centrales syndicales en passant par le mouvement Desjardins, étant donné qu'on demandait la libération de prisonniers politiques. Claude Ryan indique que le but de cette pétition était d'éviter les mesures draconiennes des mesures de guerre. C'est par la suite que la Loi sur les mesures de guerre a été proclamée aux Communes, à la demande du gouvernement Bourassa et du maire Drapeau, qui appréhendaient une insurrection. |
Mots clés | Indépendantisme — Politique — Société |
Remarques sur le document | 30e anniversaire de la Crise d'octobre |
Identifiant | 1247724 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
3 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
INDICATIF PRÉSENT
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Titre du segment | Entrevue avec Daniel Poliquin, auteur |
Date de création
| 2000-10-12 |
Durée du segment | 00:19:38 |
Invités | Poliquin Daniel, auteur, interprète et romancier |
Artisans | Bazzo Marie-France, animatrice ; Leblanc Danielle, réalisatrice |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Daniel Poliquin, auteur, interprète et romancier d'origine franco-ontarienne, publie un premier essai "Roman colonial: essai". Il parle de l'élément déclencheur qui l'a amené à écrire cet essai. Il prend position dans le débat souverainiste. Il élabore sur la notion de société distincte. À travers son essai, Daniel Poliquin parle de la bourgeoisie québécoise qu'il considère comme colonisée, plusieurs Québécois recherchant toujours l'appui de la France. La colonisation est un phénomène mondial. Il dénonce le culte du bien parler et du bien écrire au Québec. L'assimilation n'est pas une tare. Il souhaite que les gens puissent faire un choix éclairé après la lecture de cet essai. |
Mots clés | Essai — Indépendantisme — Langue — Littérature — Littérature franco-canadienne — Politique — Société |
Identifiant | 1277084 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
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