21 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
L'AVENTURE
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Titre du segment | L'aventure de la Société Saint-Jean-Baptiste |
Date de création
| 1997-02-17 |
Durée du segment | 00:48:12 |
Invités | Germain Jean-Claude, historien |
Artisans | Blondin Robert, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Robert Blondin présente l'aventure de la Société Saint-Jean-Baptiste avec l'historien Jean-Claude Germain. Ils se retrouvent à la maison Ludger-Duvernay, à Montréal, siège social de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal. Au début du siècle, le gouvernement provincial ne joue pas toujours son rôle. Certaines tâches qu'il devrait accomplir sont prises en main par la SSJB. Ainsi, lors de la Première guerre mondiale, l'image des Canadiens-français est ternie à l'étranger car ils ne veulent pas aller à la guerre et les Américains ainsi que les Français ne comprennent pas pourquoi. La SSJB va créer un bureau de publicité et il y aura un correspondant à Boston qui écrira des articles ou fera des rectifications dans les médias. La SSJB continue de jouer son rôle d'éducation populaire en finançant des émissions de radio qui sont axées sur l'histoire. La francisation est également un dossier important. La SSJB réussit à ce que le gouvernement ordonne à la compagnie Bell Téléphone qu'elle inscrive les bureaux de l'administration provinciale en français et en anglais dans les bottins. Elle exige également que l'administration municipale de Montréal conçoive ses documents dans les deux langues. À Noël 1924, grâce à Victor Morin, la croix sur le Mont-Royal s'illumine. En 1926, on érige un monument aux Patriotes. En 1934, c'est le centenaire de la SSJB et on fait le bilan de ces cent ans. Le monument national, ses cours publiques, la Caisse nationale d'économie, la caisse de remboursement, la Société nationale de fiducie, l'institution d'un concours d'histoire, la publication de "L'oiseau bleu" (revue pour enfants), les émissions hebdomadaires de radio à CKAC. En 1935, Joseph Dansereau énonce une définition du nationalisme qui deviendra la doctrine de la SSJB. Le nationalisme, c'est la fière notion de soi et l'énergique poursuite de sa destinée. En 1939, la SSJB s'opposera encore à la conscription. En 1947, le président de la SSJB, Roger Duhamel, fondera deux institutions: les prix littéraires et le prêt d'honneur. La SSJB sera active dans les années 1970 lorsque les conflits pour la langue réapparaîtront avec la loi 22 et la loi 63. Aujourd'hui, elle reste avec le mandat de son origine, un lieu de discussion, en dehors des partis politiques. |
Mots clés | Culture — Groupes et réseaux — Histoire — Langue — Nationalisme — Politique — Société |
Identifiant | 1254015 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
22 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
HISTOIRE DE PARLER
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Titre du segment | Radio-Canada et la langue |
Date de création
| 2000-06-04 |
Durée du segment | 00:31:03 |
Invités | Martel Pierre, linguiste ; Dubuc Robert, terminologue, ex-directeur du Service linguistique de Radio-Canada ; Chouinard Camil, ex-journaliste et conseiller linguistique ; de Villers Marie-Éva, linguiste aux HEC, auteure ; Ouellon Conrad, linguiste ; Barbaud Philippe, universitaire ; Gourd Daniel, responsable des émissions de variété à Radio-Canada ; Laporte Stéphane, auteur, dialoguiste ; Bertrand Guy, conseiller linguistique à Radio-Canada |
Artisans | Labrecque Michel, journaliste, animateur ; Raunet Daniel, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Pierre Martel fait ressortir l'importance du rôle de Radio-Canada dans évolution de la langue parlée au Québec et la renommée et le rayonnement du service de linguistique de Radio-Canada à une certaine époque. Il constate l'usage depuis quelques années d'une langue plus familière et spontanée à Radio-Canada.
Robert Dubuc parle du rôle de modèle que Radio-Canada a joué auprès de la population québécoise, la qualité de la langue pour les pionniers de Radio-Canada. Il se rappelle le contexte dans lequel a été adopté l'expression moto-neige. Il tente d'expliquer les raisons du démantèlement en 1985 du service de linguistique de Radio-Canada.
Camil Chouinard parle de la contribution de René Lecavalier à innover en matière de terminologie dans le monde du sport. Il donne un aperçu du travail effectué à une certaine époque pour élaborer une banque de terminologie. Marie-Éva de Villers et Philippe Barbaud donnent leur point de vue sur le niveau de langue parlé au "Téléjournal" de Radio-Canada. Mme de Villers, à partir d'exemples concrets tirés d'émissions d'information, corrige les fautes qu'elle y a relevées. Conrad Ouellon approuve les nouvelles orientations langagières dans les émissions d'information du télédiffuseur public mais critique le laisser-aller observé dans certaines émissions de variété.
Daniel Gourd évoque les difficultés rencontrées dans le recrutement de personnel ayant un niveau de langage soutenu. Il fait la distinction entre les réalités observées à la radio et à la télévision de Radio-Canada. Stéphane Laporte se plaint des exigences de Radio-Canada en matière de qualité de la langue. Guy Bertrand témoigne de la situation vécue à Radio-Canada. |
Mots clés | Culture — Histoire — Langue — Linguistique — Médias — Politique — Radio-Canada — Société |
Identifiant | 1209364 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
23 |
Format |
Captation audio
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Titre |
L'ART AUJOURD'HUI
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Durée du segment | 00:31:15 |
Invités | Godin Jean-Cléo; Hébert Lorainne; Macdoff Pierre |
Collection(s) |
Crilcq
Théâtrothèque
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Résumé | Jean-Cléo Godin, professeur au Département d'études françaises de l'Université de Montréal et co-auteur de l'ouvrage Le théâtre québécois, Lorraine Hébert, secrétaire de la rédaction des Cahiers de théâtre Jeu et Pierre Macdoff, coresponsable des centre d'essais des auteurs dramatiques, présentent un bilan de la dramaturgie québécoise de la dernière décennie. |
Mots clés | Histoire — Joual — Langue — Littérature — Théâtre |
Identifiant | C409 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
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