1 |
Format |
Télévision
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Titre de l'émission |
CAMÉRA
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Titre du segment | Les Fêtes du Canada français |
Date de création
| 1964-06-21 |
Invités | Bourassa Yves, colonel, organisateur des Fêtes; Brunet Michel, historien, Dion Gérard, abbé, sociologue; Groulx Lionel, historien; Lesage Jean |
Artisans | Dor Georges, réalisateur; Hilpert Georges, auteur; Moreau Gilles, narrateur; Morisset François, animateur; Moreau Gilles, narrateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Le colonel Yves Bourassa, organisateur des Fêtes, exprime son assurance du succès sur le plan artistique et dégage des causes de la désaffection des Canadiens Français pour les manifestations de la Saint-Jean. Images de la construction des chars allégoriques. Michel Brunet, historien, explique le sens de son mémoire présenté à la SSJB sur une nouvelle association Québec-Canada et expose sa formule de passage de l'État de province au statut de république. L'abbé Gérard Dion, sociologue, explique sa vision de la société québécoise actuelle et de ses caractéristiques particulières et évoque le Québec d'il y a trente ans. Le chanoine Lionel Groulx, historien, explique sa perception de la Révolution tranquille, précise sa position sur notre passé national, trace un parallèle entre les revendications des nationalistes de son époque et les réalisations de la révolution tranquille et critique l'attitude de la jeunesse. |
Mots clés | Art — Culture — Histoire — Indépendantisme — Nationalisme — Politique — Société — Sociologie |
Identifiant | 16258 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
2 |
Format |
Télévision
|
Titre de l'émission |
CAMÉRA
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Titre du segment | Saint-Léonard ... Pourquoi? |
Date de création
| 1968-09-17 |
Durée du segment | 00:30:00 |
Invités | Lesage Jean, député, chef de l'opposition ; Bertrand Jean-Jacques, premier ministre du Québec |
Artisans | Chapdelaine Gérard, réalisateur studio ; Devirieux Claude-Jean, journaliste, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | En 1963, à Saint-Léonard, on avait décidé d'ouvrir des classes d'enseignement bilingue pour faciliter l'adaptation des immigrants. Le résultat direct de cette décision était que la majorité des élèves, une fois au secondaire, décidaient de poursuivre leur éducation en anglais. La commission scolaire ayant aboli l'enseignement bilingue, les anglophones ont manifesté leur mécontentement et ont opté pour le boycott de la première année du primaire. Ces événements reflètent bien la situation précaire du français au Québec et la tendance marquée à l'anglicisation chez les immigrants de la région de Montréal. |
Mots clés | Bilinguisme — Éducation — Langue — Montréal — Société |
Identifiant | 364282 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
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