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HISTOIRE ORALE DE RADIO-CANADA

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Durée du segment
00:58:59
Titre du segment
Claude Désorcy
Invités
Désorcy Claude, ancien employé de Radio-Canada
Artisans
Drouin Gabi, animateur
Résumé
Claude Désorcy est entré à Radio-Canada en septembre 1953 et a quitté le 11 novembre 1979. Il parle de l'origine de sa famille et du travail de son père. Il évoque ses études primaires en citant le nom d'élèves qui sont devenus des personnalités connues. Il parle de ses études classiques en citant des noms d'étudiants qui sont devenus des personnalités connues. Il se rappelle le pensionnat, son destin de prêtrise, les sports qu'il pratiquait ainsi que ses professeurs Émile Borduas et François Hertel. Il raconte une anecdote à propos de ce dernier et poursuit avec une anecdote sur Louis Jouvet qu'il admirait. Il raconte ensuite ses expériences en théâtre, ses débuts comme présentateur à Sorel et comme assistant-réalisateur à Radio-Canada. Il a été comédien et réalisateur dans des émissions jeunesse. Durant cette période, les gens étaient heureux de travailler beaucoup. Il évoque également les émissions religieuses qu'il a initié, ainsi que plusieurs émissions spéciales. Il a vu l'âge d'or des émissions jeunesse à Radio-Canada. Il parle des budgets de la Société Radio-Canada ainsi que de son expérience de pigiste jusqu'en 1959. Il évoque les théâtres populaires, les comédiens avec lesquels il a travaillé, comment le travail s'effectuait en direct, ainsi que quelques anecdotes cocasses à ce sujet. Il raconte ensuite une anecdote avec Paul Berval. Il a été réalisateur pendant vingt-cinq ans. Il est passé par l'émission "Le sel de la semaine". Il a été directeur des émissions dramatiques pendant deux ans. Il démontre par des exemples que la qualité n'est pas incompatible avec la quantité. Il se rappelle des émissions qui l'amenèrent à voyager; la nouvelle génération dans le secteur de l'information qui l'a laissée perplexe; l'auto-censure lors de la Crise d'octobre. Il explique son regard sur la Société Radio-Canada d'hier à aujourd'hui. Il garde un souvenir merveilleux de Radio-Canada. Jean-Paul Fugère est le nom le plus significatif pour lui. Il en donne les raisons. Il a beaucoup d'estime pour Marc Thibault. Il trace une voie que devrait suivre Radio-Canada en incluant une anecdote de l'émission "Sous le signe du lion". Il parle enfin de son passage à Radio-Québec et de son travail de producteur.
Remarque sur le document
Si l’on en croit la SRC, cette émission n’aurait jamais été diffusée. Cette information est cependant incertaine puisque, par ailleurs, on trouve dans la notice originelle la date de diffusion suivante: 2000-04-03.
Identifiant
1294305
Mise à jour
2019-03-07

© 2008 Centre d'archives Gaston-Miron